Un programme Anti-Stress spécialement pour vous !
Un programme spécial contre le stress !
Dans cette vidéo, je vous annonce le lancement officiel de mon tout nouveau programme pour stopper radicalement le stress et retrouver la joie de vivre et la sérénité en seulement en quelques minutes par jour !
Pour aider les personnes stressées à retrouver la légèreté et le sourire, j’ai mis au point un programme de 6 semaines qui vous apprend pas à pas à éliminer efficacement votre stress et aller vers une qualité de vie meilleure.
Je vous dis tout dans cette vidéo :
Lancement imminent !
Mon premier programme Anti-stress !
Je suis très excité car c’est pour très bientôt !
Comme je vous le disais dans les derniers mails, je suis sur le point de lancer mon tout premier programme pour stopper le stress en quelques minutes par jour !
Après les premiers tests, ce projet qui est l’aboutissement de tout un travail, donne de trés bons résultats !
Ses avantages :
► C’est simple.
► C’est pratique.
► C’est efficace.
► C’est trés abordable.
► C’est prouvé scientifiquement.
► Et ça ne demande que quelques minutes par jour !
Son inconvénient :
Ce programme est exclusivement réservé aux femmes ! 😉
Je vous explique pourquoi dans cette vidéo ci-dessous :
Attention, le STRESS rend idiot !
C’est maintenant prouvé par les neurosciences : le stress rend complètement idiot !
Dans cette vidéo, je vous explique concrètement comment le stress agit directement sur votre cerveau en produisant 2 actions nuisibles :
1. Il désynchronise les différentes parties de votre cerveau,
2. Il fait fonctionner votre cerveau en ondes « Bêta de hautes fréquences », ce qui a pour conséquence directe de vous priver de 3 capacités mentales essentielles pour vous.
Je vous révèle tout cela dans la vidéo ci-dessous…
Cliquez sur la vignette ci-dessous pour découvrir la vidéo. 😉
Les 3 sources et les 4 caractéristiques du stress
STRESS !
On parle souvent du phénomène du stress en général mais de quoi parle t-on précisément ?
A quel type de stress fait-on référence exactement ?
Quelle est sa source ?
De quoi est-il fait et quel est le sentiment qu’il fait naître en nous ?
Qu’est-ce qui nous fait peur ?
Vous allez découvrir dans cet article ci-dessous qu’il existe trois principales sources de stress et que celui-ci peut se ranger en quatre types de menaces bien différentes.
crédit photo : Pixabay
Les 3 principales sources de stress
Il existe trois grandes sources de stress que l’on peut classer de cette façon :
1. Le stress physique
Il est lié à une santé défaillante, une maladie, une blessure, un accident, une agression physique, au manque de sommeil, un pays en guerre…
2. Le stress chimique
Il est lié à un virus ou une bactérie, aux hormones, à l’alimentation, aux perturbateurs endocriniens, à la pollution, aux produits chimiques ou aux addictions.
3. Le stress émotionnel
On peut lui-même le diviser en plusieurs sous-ensembles qui sont :
- les problèmes relationnels et familiaux ( la solitude, les problèmes de couple ou de famille, une rupture affective, le divorce, le veuvage, le deuil, le changement de cycle de vie… ),
- les difficultés professionnelles ( la surcharge de travail, l’incertitude quant à l’emploi, le manque de formation, le manque de soutien au travail et les relations de travail, le harcèlement, la recherche d’emploi et le chômage ),
- Les autres difficultés ( un déménagement, vivre dans un quartier peu sécurisé, un logement précaire, l’endettement, les problèmes d’intégration… ).
Les quatre caractéristiques du stress
Les scientifiques ont également mis à jour quatre différentes types de menaces qui induisent une réponse de stress. Ces quatre types de menaces s’appellent : le contrôle faible, l’imprévisibilité, la nouveauté et l’égo menacé.
Chacune de ces menaces génère un sentiment qui crée la réponse de stress, comme l’indique le tableau ci-dessous :
MENACE |
SENTIMENT |
Contrôle faible |
Je n’ai aucun contrôle sur la situation |
Imprévisibilité |
Je ne sais pas du tout ce qui va se produire |
Nouveauté |
Je n’ai jamais vécu ou expérimenté cela |
Ego menacé |
Je me sens mis à l’épreuve. Je doute de mes capacités |
Quelques exemples dans la vie quotidienne
Vous êtes en retard pour un rdv important et vous êtes pris dans un énorme bouchon.
« Je n’ai aucun contrôle sur la situation ! » (contrôle faible)
Votre patron a un tempérament changeant et chaque jour vous réserve une nouvelle surprise.
« Je ne sais pas ce qui va se produire ! » (imprévisibilité)
Vous attendez votre premier enfant.
« Je n’ai jamais vécu cela ! » (nouveauté)
Un nouveau collègue vous questionne sur votre façon de travailler.
« Je me sens mis à l’épreuve ! » (égo menacé)
Et vous, comment est votre stress ?…
Le stress : ami ou ennemi de votre cerveau ?
Aux origines du stress…
0n entend souvent dire que le stress, c’est le mal du siècle et c’est probablement vrai ! Mais, contrairement à ce que la plupart des gens pensent, le stress est avant tout une très bonne chose.
A l’origine, le stress est un réflexe de survie. C’est une formidable capacité qui a nous permis de rester en vie face aux dangers de la nature depuis la nuit des temps. En effet, le stress représente avant tout une merveilleuse fonction adaptative pour réagir de façon rapide et efficace à un danger potentiel. Cette aptitude nous permet de mettre le corps et l’esprit en action instantanément, dès qu’il y a un risque pour notre survie, de façon à pouvoir se protéger ou se défendre.
* Crédit photo : Pixabay
Pépé échappe au dinosaure !
Imaginez votre arrière arrière-grand-père, l’homme de Cro-Magnon, en train de chasser dans la savane. Soudain arrive derrière lui un dinosaure qui l’envisage comme une proie potentielle.
En entendant un grognement sinistre, pépé sursaute ! Sous l’effet du stress et de ses hormones, notre homme de Cro-Magnon se met instantanément en mode survie. Le ressenti du stress provoque une réponse du corps par la sécrétion d’hormones. Cette fonction qui renvoie à des mécanismes adaptatifs ancestraux sert à mobiliser une énorme quantité d’énergie pour le préparer à se défendre ou à courir.
Son corps se met à produire en grande quantité les hormones du stress (Adrénaline, Cortisol). Grâce à ce « mode survie », tous ses sens sont soudain plus aiguisés, les ondes de son cerveau accélèrent et ses forces sont comme démultipliées. Il voit mieux, entend mieux, réfléchit plus vite et il est prêt à se battre ou à fuir (réaction du stress appelée en anglais « fight or flight »).
Dans le cas d’un dinosaure, la sagesse va plutôt le conduire à choisir la fuite et notre pépé va bientôt courir plus vite qu’il n’a jamais couru pour se mettre à l’abri !
Mais il aurait aussi bien pu choisir de rester immobilisé sur place comme un lapin dans les phares de la voiture (car dans ses gênes il a mémorisé depuis des générations que les grands prédateurs ne repèrent que le mouvement).
Voilà une belle réaction rapide et efficace à un danger ! Sans stress, point de survie et les hommes auraient disparus de la surface de la terre depuis longtemps, au même titre que d’autres espèces comme les dinosaures d’ailleurs.
Encore plus vieux que Pépé !
L’évolution de la vie sur Terre est un processus lent qui a pris plusieurs milliards d’année et qui peut se résumer simplement selon les étapes suivantes :
- Etape 1 : ce n’est qu’après que notre terre a déjà parcouru les trois quarts de son existence jusqu’à nos jours (un quart dans le silence, deux quarts avec des bactéries pour seuls habitants) qu’apparaît la première cellule à noyau.
- Etape 2 : les bactéries donnent ensuite naissance à une branche évoluée : les algues bleues. Contrairement à leurs ancêtres, elles aiment l’oxygène, la lumière du soleil, elles sont l’avenir.
- Etape 3 : les algues bleues donnent naissance à des formes de vie de plus en plus sophistiquées.
- Etape 4 : les insectes apparaissent il y a 250 millions d’années.
- Etape 5 : puis les hommes, bons retardataires, ont pointé le bout de leur nez il y a un million d’années.
Ces données en millions et milliards d’années sont tellement vertigineuses, qu’afin de mieux se rendre compte de ce que cela peut représenter, voici ci-dessous une présentation sous forme d’échelle kilométrique.
A titre d’exemple, si nous considérons que 10 milliards d’année (date de la formation de l’Univers) équivalent à 100km, alors :
100 km | 10 milliards d’années | Formation de l’Univers |
50 km | 5 milliards d’années | Formation de la Terre |
30 km | 3 milliards d’années | Premières formes de vie (les bactéries) |
10 km | 1 milliards d’années | Méduses et coraux dans les océans |
10 m
2 m 35 cm 2 cm |
1 million d’années
200 000 ans 35 000 ans 2000 ans |
Les premiers hommes
Homme de Néandertal Homme de Cro-Magnon Naissance du Christ |
* Crédit photo : Pixabay
Une accélération exponentielle !
Comme le montre le tableau ci-dessus, l’homme (dans sa version génétique la plus proche de ce que nous sommes aujourd’hui) est apparu sur Terre, il y a quelques 200 000 ans avec l’homme de Néandertal puis l’homme de Cro-Magnon.
Il a réussi à survivre au fil des millénaires car il s’est adapté rapidement à son environnement et a su réaliser des découvertes essentielles pour son évolution et sa survie (maîtrise du feu, de la chasse et la cueillette, découverte du silex…).
Pendant les premiers milliers d’années, l’évolution s’est faite paisiblement jusqu’aux prochaines découvertes importantes qui ont fait avancer l’humanité de manière plus rapides (découvertes de l’aiguille, de la roue, de l’élevage et de l’agriculture…).
Une accélération démentielle !
Mais ce n’est que très récemment que tout a changé brutalement ! En moins d’un siècle, l’homme a fait des découvertes majeures dans tous les domaines qui lui ont fait faire un bond gigantesque dans son style de vie.
Pour à nouveau mettre les choses en perspective, si les 200 000 ans d’existence de l’homme sur Terre étaient représentés par une journée de 24 heures, l’évolution à laquelle nous assistons depuis un siècle se serait faite dans la dernière minute !
Avec l’ère industrielle, la démocratisation des transports, l’explosion des technologies de communication au sens large (l’imprimerie puis la radio, la télévision, le téléphone, internet, les publicités…), les changements profonds dans notre mode d’alimentation (agriculture intensive et élevage industriels) et la modernisation de la vie en général, notre mode de vie a été profondément bouleversé.
Cette accélération démentielle et ces changements brutaux de nos styles de vie ont fait que notre cerveau et notre organisme dans son ensemble n’ont pas eu le temps de s’adapter à ce changement de rythme et ces bouleversements rapides et profonds de nos modes de vie.
Il y a encore 150 ans, la grande majorité de la population habitait à la campagne. La vie était rythmée par les cycles naturels du soleil et de la lune, les gens vivaient en permanence au contact de la nature, le travail dans les champs ou à la ferme demandait une activité physique permanente, on ne mangeait que des produits naturels et on ne croisait guère plus que quelques dizaines de personnes par jour dans les villages.
De nos jours, tout est différent et la vie qui nous semble plus confortable sur bien des plans dans les pays riches (accès à l’eau, au gaz, au chauffage, logement, nourriture en abondance et moyen de transports entre-autre) est devenu infiniment plus complexe à tout point de vue.
Cette complexité de la vie moderne et confortable a pour conséquences que notre corps souffre parce qu’il est de plus en plus coupé de ses besoins naturels. Les sources de stress liées à la survie en milieu naturel ont changé et les dangers modernes qui sont les nouveaux stresseurs sont maintenant :
- Le manque de sommeil naturel : ce n’est plus le soleil qui a autorité mais le réveil matin
- La nourriture industrielle (additifs, ogm, pesticides, hormones animales, perturbateurs endocriniens et autres produits chimiques …)
- Le café, sucre, cigarettes, alcool, compléments alimentaires, stimulants et drogues
- La pollution de l’air
- La pollution sonore
- Le manque de contact avec la nature
- La lumière artificielle
- Le décalage horaire…
On se demande comment l’être humain peut résister à tout cela depuis quelques dizaines d’années seulement ?
Mais en plus de cela, notre cerveau souffre également d’un rythme effréné pour lequel il n’a pas été conçu et auquel il n’est pas habitué avec les stimulations multiples et constantes de l’environnement :
- Forte pression sociale économique (modèle de la réussite, peur du chômage, augmentation des divorces, les familles recomposées et éclatées…)
- Moins de temps aujourd’hui pour les loisirs qu’il y a 50 ans
- Peur des maladies (cancer, vih, dépression, burn-out…)
- Bombardement constant d’informations via les médias : les messages vocaux sur la boite vocale, médias sociaux, mails, internet, télévision*, radio, publicités, les codes et mot de passe à retenir…
- Sollicitations permanentes via les téléphones portables : appels, sms, mms…
- La densité de population : dans les villes, on croise des milliers de personnes tous les jours et on échange des centaines de codes sociaux qui génèrent des « micro-stress » constants (bruits des voisins, la foule, le trafic, les sonneries de téléphones portables, etc.)
- L’obligation de formation permanente pour s’adapter aux changements et évolutions technologiques : ordinateur, internet, smartphones, tablettes, format kindle et autres applications de plus en nombreuses. (A titre d’exemple : il y a deux fois plus de technologie aujourd’hui dans nos smartphones qu’à la NASA en 1969 !)
Conséquences de tout çà…
La vitesse à laquelle évolue la société crée donc forcément des conséquences liées aux difficultés de mutations de l’être humain dans un monde en perpétuelle évolution. Ces changements violents et rapides dans nos modes de vie séculaires ont bouleversé nos sens, notre activité cérébrale et notre vie*.
Ainsi des maladies apparaissent de plus en plus, telles que :
- les troubles musculo-squeletiques (TMS)
- la nervosité
- l’anxiété, les crises d’angoisses et troubles anxieux
- les troubles du sommeil et la fatigue
- les migraines
- les douleurs dorsales
- les phobies
- les dépressions
- burn-out
- les avc
- les maladies cardiaques
- les névroses et psychoses
- les cancers, les maladies auto-immunes
- et toutes les pathologies liées au stress.
Savoir s’adapter et agir maintenant !
Heureusement des solutions existent! Certaines sont nocives voire dangereuses pour l’être humains alors que d’autres sont efficaces et bénéfiques à long terme**. Chacun doit trouver sa formule pour traiter son stress de manière curative mais préférablement de façon préventive car, comme le dit l’adage : « si vous ne vous occupez pas de vos problèmes, ce sont eux qui vont s’occuper de vous. »
Alors passez à l’action maintenant ! 😉
Et si cet article vous a intéressé, n’hésitez pas à le partager avec les personnes de votre entourage qui pourraient être concernées par ce problème.
* D’après l’American Institute of Stress, ce fléau serait responsable de 75% à 90% des consultations médicales et de 60 à 80% des accidents du travail.
** Comme l’indique une étude faite par l’American Psychological Association.
Libérez-vous avec la technique de la cigarette invisible
Crédit photo : Steven Giacomelli / Pixabay
Vous avez l’impression que la cigarette vous calme ?
Alors lisez cet article car je vais vous donner une nouvelle solution beaucoup plus efficace et beaucoup plus confortable ( sans forcément être obligé de voter FN ).
Trois en une !
Dans l’addiction à la cigarette, il y a en fait trois addictions différentes :
- L’addiction physique.
C’est celle que tout le monde croit avoir mais que très peu de gens ont. Si vous faites partie de ceux qui rentrent en transe dans un avion après deux heures de vol, qui sont pris de sueurs, de tremblements et de toutes les caractéristiques d’un drogué en état de manque, alors vous avez une véritable addiction physique à la cigarette. - L’addiction psychologique
Celle-ci est en revanche commune à la plupart des fumeurs. C’est la béquille psychologique, cette impression que la cigarette vous aide dans un certain nombre de situation de votre vie (pour réfléchir, pour mincir, pour gérer le stress, pour se donner une contenance en soirée, pour créer du lien avec les autres). Votre esprit est suffisamment puissant et cette pensée suffisamment forte pour que cela crée une véritable réaction physique (comme pour l’effet placebo par exemple). - Le comportemental
Ce sont les habitudes liées à la cigarette et c’est souvent la partie la plus importante. Vous avez fait le geste de fumer des milliers de fois (si vous fumez un paquet par jour, soit 20 cigarettes, et que vous portez une cigarette disons 10 fois à la bouche pour la fumer entièrement, vous faites le geste de fumer 200 fois par jour. Si vous fumez depuis 20 ans, vous aurez au final fait ce geste presque 1,5 million de fois dans votre vie !). Cela ne peut pas être neutre.
Un exercice respiratoire particulier…
Avez-vous remarqué que lorsque vous fumez, vous faites un exercice respiratoire particulier que vous ne faites à aucun autre moment de la journée ? Et cette façon de respirer vous calme comme le fait n’importe quel exercice de respiration !
Vous avez fait ces gestes des milliers de fois, sans réellement porter attention à comment vous fumez vraiment ? Alors observez-vous pour commencer à déprogrammer votre cerveau de la cigarette.
Peut-être prenez-vous une longue inspiration (quand vous inspirez la fumée) et peut-être que vous bloquez ensuite votre respiration quelques instants avant de faire une longue expiration ? Ou peut-être expirez-vous tout de suite si vous ne gardez pas la fumée ? Faites vous plusieurs respirations normales sans cigarette (et à ce moment-là, combien ?) avant de reprendre une longue inspiration ? Et combien de temps dure cet exercice respiratoire, 5 minutes ? Moins ? Plus ?
Observez-vous fumer car vous suivez un protocole qui est toujours le même… et cet exercice respiratoire que vous pratiquez plusieurs fois par jour (5, 10, 20 fois ou plus) vous apaise parce que votre inconscient a associé ce moment avec un instant de détente.
La respiration est très émotionnelle
Quand vous êtes stressé, vous avez une respiration rapide, courte et haute. Et quand vous êtes bien détendu, votre respiration est complètement différente, beaucoup plus profonde. Et vous avez associé inconsciemment le fait de fumer à un exercice respiratoire qui vous apaise.
La technique de la cigarette invisible
Dès la prochaine fois que vous avez envie de fumer, prenez une cigarette que vous n’allumez pas ou faites comme si vous aviez une cigarette à la main (alors que ce n’est pas le cas) et imitez-vous en train de fumer. C’est-à-dire reproduisez exactement les mêmes gestes, les mêmes inspirations et les mêmes expirations, bloquez votre respiration comme si vous reteniez la fumée, etc. Et faites cet exercice un peu bizarre (pour un œil non informé) dans le timing exact de la consommation d’une cigarette normale.
Si vous pratiquez cet exercice respiratoire exactement de la même façon que si vous fumiez une cigarette réelle vous allez expérimenter quelque chose qui va vous surprendre : cela vous détend tout autant que si vous fumiez vraiment car la cigarette trompe votre cerveau ! Elle n’est qu’un accessoire pour faire un exercice respiratoire particulier qui vous détend.
Passez à l’action maintenant !
- Fumez une cigarette normale et observez-vous bien en train de fumer. Chronométrez le temps d’une prise de cigarette.
- A l’envie de cigarette suivante, testez la cigarette invisible. C’est-à-dire respirez exactement comme si vous fumiez et dans le même temps.
- Observez l’état de détente obtenu et faites-nous profiter de vos commentaires. Vos retours d’expériences sont très intéressants !
Le livre à lire pour arrêter :
1 technique ANTI-STRESS facile pour hacker votre cerveau
Halte aux « petits coups de stress » paralysants !
Dans certaines situations de la vie quotidienne ( passage d’un examen, rdv important, parler en public, etc. ), le stress peut parfois vous faire perdre vos moyens. le coeur et la respiration accélèrent, la gorge se noue, on transpire, on ressent une boule dans la gorge ou dans le ventre… et le cerveau se met parfois à bugger !
Dans cette vidéo, je vous donne une technique simple et efficace pour ne plus perdre vos moyens dans ces moments-là et utiliser le stress à votre avantage, comme un outil de passage à l’action plutôt que comme une réaction inconsciente et paralysante.
Regardez maintenant cette vidéo :
Comment faire de votre STRESS votre ami ?
Le stress est-il votre ennemi ?
Il fait battre votre cœur, accélérer votre respiration et vous donne des suées… Vous sentez-vous stressé?
Alors que le stress a été désigné comme un ennemi de la santé publique (selon l’American Institute of Stress, il serait même responsable de 75% à 90% des consultations médicales et de 60 à 80% des accidents du travail), de nouvelles recherches suggèrent qu’il ne serait réellement mauvais pour vous que si vous croyez que c’est le cas.
Et si on voyait les choses différemment ?
La psychologue Kelly McGonigal nous enjoint de voir le stress plutôt comme un élément positif dont la fonction serait de nous stimuler au moment de passer à l’action. Dans cette intervention TED (avec les sous-titres en français), elle nous initie à un mécanisme nouveau et méconnu de réduction du stress : aller vers les autres.
Regardez ci-dessous son intervention en cliquant ci-dessous.
Pour aller plus loin avec Kelly McGonigal
Livre en français :
Livre en anglais :
9 techniques anti-stress qui marchent et 6 DANGEREUSES pour votre santé
Attention aux activités anti-stress dangereuses !
Selon une méta-étude réalisée par l’American Psychological Association, il existe des deux types d’activités qui réduisent le stress. Certaines ont un effet rapide et à court terme alors que d’autres ont plutôt un impact sur le long terme.
De plus, cette étude indique que les activités ayant un effet court terme peuvent s’avérer nocives voire dangereuses pour l’individu alors que les activités qui ont un effet à long terme ont un réel impact bénéfique sur la diminution du stress et qui dure dans le temps.
L’étude indique en effet qu’un certain nombre d’activités soit-disant antistress pratiquées régulièrement par une importante partie de la population ont un effet apaisant à très court terme mais entraînent en fait des conséquences douloureuses sur le long terme. Elles ne font qu’empirer le problème de stress à terme au lieu de le soulager.
Ces activités sont principalement :
- Les jeux d’argent
- Le shopping
- Boire et manger
- Les jeux vidéos
- Surfer sur internet
- Regarder la télévision plus de deux heures par jour.
Les techniques qui marchent vraiment
Toujours selon cette étude, il existe en revanche des pratiques qui permettent de réduire considérablement votre stress sur le moyen et le long terme. Elles sont pour la plupart déjà bien connues du bon sens mais cette étude vient ici valider ces croyances populaires par des chiffres et des statistiques.
Ces activités sont dans l’ordre :
- Faire du sport : il est évident pour tous que pratiquer une activité sportive quelques heures par semaine est bénéfique pour le corps qui a besoin de bouger, mais aussi pour l’esprit qui a besoin de s’apaiser.
- Prier ou participer à un service religieux : c’est maintenant prouvé par les neurosciences, prier comme méditer d’ailleurs, fait basculer le fonctionnement du cerveau dans des ondes cérébrales propices à la relaxation douce ou profonde (ondes alpha, théta ou gamma).
- Lire : au-delà de l’enrichissement intellectuel et culturel évident, lire permet de s’évader de son quotidien et de son stress ramenant le calme intérieur.
- Ecouter de la musique : le pouvoir de la musique qui agit directement sur l’inconscient n’est presque plus à prouver, la musique étant capable de faire ressentir des émotions variées, et comme le dit le dicton : « la musique adoucit les moeurs ».
- Passer du temps avec ses amis et sa famille : l’homme et la femme étant « des animaux sociaux », être entouré de ses proches ou intégré dans un réseau social est indispensable à la qualité de notre vie et même à notre santé et longévité comme le montrent un certain nombre d’études.
- Se faire masser : n’hésitez pas, si vous le pouvez, à vous faire masser régulièrement car il est important de se faire du bien et, en même temps, cette expérience kinesthésique reconnecte le corps et l’esprit amenant un apaisement profond.
- Faire une promenade dans la nature : le contact avec les éléments amène immédiatement un calme intérieur. Même cinq minutes à marcher les pieds dans l’herbe permet au mental de se relâcher.
- Méditer ou faire du yoga : plus de trente ans de retour d’expérience sur la méditation indique clairement les bienfaits de cette activité au niveau physique, psychologique mais aussi immunologique car les personnes qui méditent régulièrement sont plus en forme, plus sereine et moins sujettes aux maladies que les autres. A tel point que la sécurité sociale anglaise propose depuis quelques années de rembourser l’inscription au programme de méditation pleine conscience. Bien entendu d’autres genres de méditation sont tout aussi valables, de même que le sont les bienfaits reconnus du yoga et de toutes les activités de « type méditatif » qui proposent de « débrancher le cerveau ».
- Pratiquer un hobby créatif : faire du théâtre, de la peinture, jouer un instrument de musique… Autant d’activité qui font travailler notre cerveau droit (hémisphère créatif) tout en apaisant le mental qui peut se détendre dans le cadre d’une activité où la pensée analytique n’a pas forcément sa place.
Certaines de ces activités peuvent aussi être couplées entre-elles pour apporter encore plus de calme intérieur. Comme par exemple faire du sport ou lire en écoutant de la musique, méditer en marchant dans la nature, pratiquer un hobby avec ses amis, etc.
Il est cependant étonnant de constater que le sexe ne fait pas partie de cette liste d’activités alors qu’il semble pourtant évident que faire l’amour a un pouvoir calmant indéniable. L’étude ayant été menée par une association américaine, peut-être qu’un biais puritain a parasité son achèvement. 😉
A propos de la méditation…
Dans le point 8, les techniques méditatives sont nombreuses et chacun doit trouver celle qui correspond le mieux à son caractère et son style de vie. Certaines méditations se font assises dans le silence, d’autres peuvent se pratiquer en marchant, d’autres encore en répétant un mantra ou avec une voix qui accompagne, avec de la musique, etc.
Le temps que l’on y consacre peut aussi être variable. On parle parfois de 20 minutes 2 fois par jour (méditation transcendantale) ou 1 heure ou simplement quelques minutes… En fait, la méditation, c’est l’hygiène du cerveau et comme toujours en matière d’hygiène, il vaut mieux pratiquer un peu mais régulièrement.
Tout le monde y trouve ses bienfaits mais les personnes les plus sujettes au stress ont souvent tendance à manquer de temps pour pratiquer… La cohérence cardiaque, même si elle n’est pas véritablement considérée comme une technique méditative, est de ce point de vue là un excellent compromis. C’est une méthode scientifiquement prouvée qui donne des résultats quasi immédiatement en ne se pratiquant que quelques minutes par jour seulement. Si le stress est un problème pour vous et que le temps vous manque, sentez vous libre de tester mon programme « Serenity 15 minutes » qui répondra parfaitement à vos attentes.
Un prof de math vous explique comment mieux utiliser votre cerveau !
Un de nos pires souvenirs d’école !
Nous avons tous en mémoire l’un ou l’autre de nos « profs de maths », plus ou moins cauchemardesque, plus ou moins admirable. Eric Gaspar est sans nul doute de la seconde catégorie, de ceux qui marquent l’esprit d’un élève pour longtemps. Car bien au-delà des théorèmes et autres équations, ce qu’il transmet, c’est l’art d’apprendre !
Eric Gaspard est professeur de mathématiques et passionné de neurosciences. Selon lui, “50% de la population pense que l’intelligence est une donnée acquise à la naissance », alors qu’elle se reconfigure tout au long de la vie selon les stimulations rencontrées.
Quand l’éducation nationale évolue enfin !
Enseignant de l’éducation nationale depuis 1990 et passionné de neurosciences, il crée à la fin des années 2000, le programme d’éducation Neurosup, un projet qui expérimente des méthodes d’apprentissages nouvelles, capitalisant sur les spécificités du cerveau, pour faciliter la transmission et l’acquisition des connaissances.
Les résistances de la « maison mère » Education nationale n’auront pas raison de ses convictions. Petit à petit, il parvient à évangéliser plusieurs professeurs puis plusieurs établissements. Aujourd’hui 145 neuro-classes ont déjà produit des milliers d’élèves heureux et des centaines d’enseignants emballés !
Qu’allez vous apprendre sur votre cerveau ?
Dans cette intervention accessible à tous et passionnante, ce professeur de math hors du commun nous explique trois connaissances de base des neurosciences :
1. votre cerveau efface naturellement l’information : il faut donc qu’elle soit utile dans un futur proche pour être bien enregistrée,
2. votre cerveau n’est pas multi-tâche (non mesdames!) : il peut faire de l’alternance entre quelques tâches mais il n’est réellement efficace qu’en travaillant étape par étape,
3. votre cerveau se reconfigure en permanence : la plasticité cérébrale nous permet de progresser à chaque instant et à tout âge !
Alors regardez maintenant cette vidéo ci-dessous pour mieux connaître votre outil le plus puissant 😉
Pour aller plus loin avec Eric Gaspard :
Que cache notre cerveau ? avec les frères Bogdanov
Présenté par les frères Bogdanov, « Que cache notre cerveau ? » est le quatrième volume d’une série de documentaires de vulgarisation qui explore les plus grandes questions de l’espèce humaine et met en lumière certains des sujets les plus fascinants de l’univers dont le cerveau.
Ces personnes sont de véritables prodiges capables de performances intellectuelles extraordinaires, comme notamment :
- Stephen Wilshire « la caméra humaine » qui est capable de redessiner entièrement une ville comme Londres de mémoire dans ses moindres détails,
- Matthew Savage, le petit Mozart du Jazz qui a appris le piano en une nuit,
- Kim Peek (qui a inspiré le film « Rain man ») capable de mémoriser entièrement 12000 livres.
Le Docteur Darrold Treffert, spécialiste mondial du syndrome savant et la neuro-anatomiste Docteur Jill Bolte Taylor, dont on avait déjà parlé sur ce blog dans l’article « Voyage au bout du cerveau », nous explique comment ces individus semblent utiliser certaines parties de leur cerveau (notamment localisé du côté de l’hémisphère droit), pour leur permettent ainsi d’accéder à des capacités incroyables.
Et si, dans un avenir proche, nous étions tous capables d’en faire autant ? Et si nous étions tous des génies en puissance qui s’ignorent ?
Comment la TV lobotomise votre cerveau
Vous pensez que vous planter devant la télé vous déstresse?
Rien de plus faux! La télé est au contraire une incroyable source de stress. Vous croyez qu’elle vous détend en vous détournant de vos soucis, mais avec 3h47 d’exposition en moyenne par jour à des informations à tendance anxiogène (statistiques France en 2011), c’est tout le contraire qui se passe !
Faites le compte…
Prenons le cas d’une personne de 40 ans. Si on part du principe ( optimiste ) qu’elle ne regarde la télévision que depuis qu’elle a 3 ans ( elle a commencé malgré elle avant, c’est certain… ), cela fait 37 ans qu’elle regarde la télévision à une moyenne de 4 heures par jour (optimiste aussi c’est sans compter les week-end passés devant la télé, les nuits sans sommeil et toutes les fois où la télévision est branchée mais où on ne la regarde pas vraiment).
Soit plus de 54000 heures de télé. De quoi faire des crises d’angoisse…
6 ans devant la télévision!
En partant du principe que cette personne normale dort 8h par nuit ( optimiste encore ) et qu’elle s’absente de temps en temps pour aller aux toilettes, cela ramène sa consommation télévisuelle totale à plus de 6 ans de télévision. Cette personne a passé 6 ans de sa vie à ne faire que regarder la télé !
Cela ne peut pas être sans conséquence. Compte tenu de toute la violence, des nouvelles catastrophiques et autres agressions télévisuelles, cela ne peut pas être neutre.
Une source de stress qui fait vendre !
Je ne suis pas en train de vous dire que la télévision est la première source de stress ( c’est le poste « travail », « finance », « santé » ou « vie affective » qui l’est ), mais en revanche, la télévision compte pour une part non négligeable de votre stress en alimentant régulièrement votre esprit en anxiété diffuse.
Et il y a une raison à cela : les études le prouvent, l’anxiété fait consommer. Les médias et les annonceurs qui les financent ont donc tout intérêt a continuer à entretenir un sentiment d’anxiété collective pour vendre.
Cela signifie t-il que ce média augmente votre stress global de 5, 10 ou 20% ? Difficile à dire. Mais ne serait-ce que 10% de stress en moins ( optimiste ), ce ne serait pas négligeable et c’est déjà une bonne technique pour déstresser rapidement !
Passez à l’action !
Alors svp, économisez-vous du temps de télévision dès que possible et regardez plutôt cette conférence de Michel Desmurget ( d’une durée d’1h32 )qui explique d’un point de vue strictement scientifique avec un nombre impressionnant d’études à la clé, les effets néfastes de la télévision sur votre cerveau et celui de vos enfants. Très instructif!
Pour aller plus loin avec Michel Desmurget :
A la découverte de notre cerveau
Notre cerveau est l’outil le plus complexe qui existe
Mais cet outil est-il fiable?…
En général, notre cerveau nous aide et est très efficace dans ce rôle. Cependant, il fait parfois des erreurs. Il peut aussi se faire manipuler voire même se manipuler lui-même!
Alors, doit-on douter de notre cerveau?…
Albert Moukheiber, Docteur en Neurosciences et psychologue clinicien au service Psychiatrie de l’hôpital Henri Mondor de Créteil, nous explique dans cette intervention TED comment fonctionne notre cerveau au-travers d’exemples amusants.
Libérez votre cerveau de la peur de l’échec
Si la réussite est une recette, l’échec fait partie des ingrédients
Même si l’échec est encore un tabou social porteur d’un sentiment de honte (surtout en France), heureusement les mentalités évoluent!
Une étude américaine sur les entrepreneurs multi-millionnaires a montré qu’ils avaient tous coulé entre deux et quatre sociétés avant de devenir ce qu ils sont. S’ils n’avaient pas traversé ses épreuves, ils n’auraient pas la réussite flamboyante qu’ils ont aujourd’hui.
Libérez votre cerveau!
Idriss Aberkane, détenteur de trois doctorats (dont un en Neurosciences cognitives), conseiller scientifique de la mission SeaOrbiter, éditorialiste au point, enseignant, conférencier et auteur du livre qui a fait le buzz « Libérez votre cerveau » explique dans cette vidéo comment la notion d’échec est intimement liée à la réussite de chacun et pourquoi il faut pouvoir se permettre d’échouer pour s’autoriser à réussir.
Pour aller plus loin :
Préparation mentale à la retraite
Comment sortir d’une crise d’angoisse
Quand on fait une crise d’angoisse, on a littéralement l’impression que l’on va mourir. Le mental s’emballe et part dans ses pensées mortifères. Cette vidéo vous donne une technique simple et efficace pour reprendre le contrôle dans ces moments-là et faire redescendre cette sensation désagréable jusqu’à la faire disparaître totalement.
4 techniques pour destresser rapidement
Voyage au bout du cerveau avec Jill Bolte Taylor
Témoin de la mort de son cerveau!
Jill Bolte Taylor est une scientifique spécialiste du cerveau qui a été victime en 1996 d’une attaque foudroyante de l’hémisphère gauche de son propre cerveau. En tant que professionnelle en Neurosciences, elle a été témoin à ce moment-là de sa propre agonie cérébrale en observant comment ses fonctions cérébrales, mais aussi ses gestes, sa parole et sa conscience se sont arrêtés progressivement les uns après les autres.
Elle a vécu cette expérience de l’intérieur et nous relate dans cette intervention TED son récit incroyable du point de vue du regard scientifique mais également en tant qu’être humain.
Cerveau droit / cerveau gauche
Au-delà d’une histoire étonnante et d’un témoignage véritablement poignant, Jill Bolte Taylor nous fait découvrir dans cette intervention les fascinantes découvertes d’une scientifique sur le fonctionnement du cerveau droit et du cerveau gauche ainsi que sur les limites de la conscience humaine.
Découvrez tout cela maintenant…
Cette vidéo est en anglais!
Pour obtenir les sous-titres en français :
– Cliquez en bas à droite de la vidéo sur sous titres
– puis séléctionnez « français » dans les paramètres (roue dentée à côté).
POUR ALLER PLUS LOIN :
Son site internet : http://www.drjilltaylor.com/
Son livre :
Méditation : la grande énigme du cerveau
La méditation, c’est quoi?
La méditation constitue une grande énigme pour les scientifiques. Ses effets sur le cerveau permettraient-ils de vivre mieux et plus longtemps ? Pourrait-on l’utiliser en pratique quotidienne ?
Cette interview tv de Matthieu Ricard, méditant expérimenté, moine bouddhiste représentant français du Dalaï Lama, docteur en biologie et auteur du livre « L’art de la méditation » nous éclaire sur les avantages à pratiquer régulièrement cette technique.
Ce n’est pas un truc exotique!
Contrairement à une idée reçue, la méditation n’est pas un truc exotique et elle n’est pas réservée aux moines bouddhistes!
C’est prouvé scientifiquement
Pour aller plus loin :
Modifiez votre état d’esprit en 2 minutes chrono!
Votre corps vous parle
Notre langage corporel a un effet significatif sur comment les autres nous voient car, selon la loi de Mehrabian*, 93% de notre communication est non verbale. Cependant, notre langage corporel pourrait a une incidence importante sur comment nous nous percevons nous-même.
La psychologue sociale Amy Cuddy (auteure du livre « Montrez-leur qui vous êtes ») démontre dans cette intervention TED comment les « postures de puissance », c’est-à-dire se tenir dans une position de confiance en soi – même si on ne se sent pas tout à fait confiant au fond de soi – ont un effet réel sur les niveaux de testostérone** et de cortisol*** dans le cerveau et le corps, et pourraient même avoir un impact sur nos chances de succès dans la vie.
C’est scientifiquement prouvé!
Les expériences faites en laboratoire par Amy Cuddy sur des groupes de sujets démontrent qu’en prenant une « position de puissance » pendant seulement deux minutes (comme celles qui sont montrées dans cette vidéo), les personnes modifient significativement leurs niveaux hormonaux en augmentant de 20% la testostérone et en diminuant de 15% le niveau de cortisol!
Faites comme si… jusqu’à ce que ce soit vrai!
Vous avez donc le pouvoir de changer la chimie de votre cerveau et de votre corps en deux minutes!
Concrètement, cela veut dire qu’en prenant une position de puissance « comme si j’avais confiance en moi », je deviens capable de modifier ma chimie interne de manière à ressentir en seulement deux minutes une « montée » de confiance en moi qui peut me permettre d’être plus performant lors d’un entretien d’embauche, d’un examen ou d’un rendez-vous amoureux.
Alors, faites-le!
* Loi de Mehrabian : l’effet que produit la communication d’une personne est due pour 7% aux mots utilisés, pour 38% à sa voix et pour 55% à son corps (expressions du visage, regard, posture, mobilité, respiration…)
** Testostérone : hormone liée notamment à la prise de décision, passage à l’action, confiance en soi, sexualité.
*** Cortisol : hormone liée au stress
Cette vidéo est en anglais. Pour obtenir les sous-titres en français :
– Cliquez en bas à droite de la vidéo sur sous titres
– puis séléctionnez « français » dans les paramètres (roue dentée à côté).
Pour aller plus loin :
La voix dans ma tête est une connasse! L’intervention TEDx de Jonathan Lehmann
A la recherche du bonheur…
Depuis des milliers d’années, les civilisations humaines ont considérablement progressé. Les bonds technologiques nous permettent d’explorer l’espace et le fonds des océans, d’améliorer significativement notre confort et notre qualité de vie au quotidien mais en revanche aucun progrès n’a été fait sur la recherche du bonheur.
Dans cette intervention au TEDx, Jonathan Lehmann nous parle de son intérêt pour cette question et révèle trois techniques simples et efficaces pour être plus heureux au quotidien.
Qui est Jonathan Lehmann?
Ancien avocat d’affaires à Wall Street et Paris, puis entrepreneur web en Californie, Jonathan Lehmann anime aujourd’hui la communauté « Les Antisèches du Bonheur » sur Facebook et propose des méditations guidées sur YouTube. Il est passionné par les petites choses que l’on peut faire pour avoir un grand impact sur son bonheur au quotidien.
Ses trois antisèches du bonheur
Notre mental produit entre 60 et 70 000 pensées par jour, la plupart négatives. Dans ce talk Jonathan expose les 3 habitudes qui permettent de transformer ce mental tyrannique – cette voix dans la tête qui semble être la plupart du temps notre pire ennemie (dont je parle dans la vidéo je pense trop) – en un outil magique de bonheur : 3 habitudes qui changent la vie.
- La première habitude est de cultiver la gratitude au quotidien, pour en savoir plus, je vous propose de regarder la vidéo « Comment rendre votre cerveau plus heureux ».
- La seconde est de pratiquer une technique de méditation tous les jours car la méditation, c’est l’hygiène du cerveau, comme dans la vidéo « la méditation c’est pas pour les moines ».
- Et la troisième est de « vider les poubelles mentales », c’est-à-dire de prendre l’habitude d’écrire sur le papier (ou sur un document word) toutes les pensées qui encombrent notre tête de façon à calmer ce monologue mental incessant.
Pour aller plus loin :
La communauté des antisèches du bonheur sur Facebook
Comment les jeux vidéo peuvent vous faire apprendre plus vite
Cet article invité a été rédigé par Joseph Nguyen du blogue Centres d’intérêt : Jeux vidéo dont le thème est le développement personnel et l’entrepreneuriat grâce aux jeux vidéo.
Je le ferai demain, c’est promis
Vous êtes-vous déjà retrouvé dans la situation où vous devez travailler (le travail en général, pas seulement le travail en entreprise), mais qu’au lieu de le faire vous repoussez sans arrêt jusqu’au moment où vous ne le faites plus du tout? Votre projet qui vous tenait tant à cœur est maintenant rangé avec vos autres rêves. A cet instant, on s’en veut profondément, en y repensant le stress et l’anxiété montent en flèche. Quand on se rappelle ces moments où l’on devait travailler, mais où l’on a choisi de ne rien faire, les émotions que nous ressentions refont surface et cela nous démoralise.
Et si je vous disais qu’il existait une méthode simple, rapide et efficace pour vous aider?
Grâce à cette méthode, vous parviendrez à vous construire une habitude pour atteindre vos objectifs. Vous aurez envie d’avancer dans votre projet pour vous sentir encore mieux, au lieu de devoir vous pousser sans arrêt pour vous motiver et éviter de vous sentir mal. Votre niveau de stress diminuera ce qui vous laissera une plus grande part d’énergie pour réaliser vos tâches du jour.
Imaginez-vous en train de travailler sur votre projet et qu’à chaque étape votre bien-être augmente, votre envie d’apprendre s’amplifie. Imaginez être concentré au point que vous ne voyez pas le temps passer, que vous ne ressentez pas la faim. Tout cela, vous le vivrez grâce à cette méthode que je vais partager avec vous.
La gamification ou la ludification
La méthode que je vais vous présenter ici consiste à reprendre les éléments que nous retrouvons dans les jeux vidéo, d’où le terme de « ludification » ou de « gamification » (anglais). Pourquoi est-ce que les enfants comme les adultes jouent souvent aux jeux vidéo pendant des périodes longues (plus d’une heure) sans voir le temps passer ? C’est principalement car la récompense dans les jeux vidéo est omniprésente, vous êtes récompensé pour vos exploits comme pour vos échecs. Apprendre en jouant est une chose absolument naturelle, d’ailleurs les animaux apprennent à survivre/interagir en jouant. Ici nous allons seulement apporter le jeu dans votre façon de travailler.
Avant de vous donner la recette, je veux vous montrer comment ce principe de récompenses permanentes est utilisé dans le jeu vidéo. Ici, je prends comme exemple Battlefield 1 qui est un jeu de guerre. La vidéo ci-dessous vous montrera concrètement ce système en action.
https://www.youtube.com/watch?v=GUZAmf1JZKY
Ce système permet aux joueurs d’identifier efficacement les actions bénéfiques pour son équipe et les pousse à reproduire ces actions de manière plus efficace. Même en cas de défaite, les points personnels peuvent monter très haut, les joueurs ne sont donc pas découragés par les échecs, au contraire ils apprennent à jouer encore mieux quand ils sont dans une mauvaise position. Pour ces raisons, vous ne trouverez jamais un joueur de jeux vidéo capable de jouer seulement 30 minutes, car il en retire beaucoup de satisfaction et il se sent valorisé.
Et si l’on pouvait travailler de la même façon ?
Cela existe déjà et cela s’appelle le « serious gaming ». Par exemple, il existe des exercices pour entretenir votre cerveau qui sont extrêmement simples à utiliser. Toutefois il y a un problème majeur, ces exercices sont aussi extrêmement ennuyants, il est difficile de s’y consacrer plus de 10 minutes par jour.
Pour remédier à ce problème, des éléments propres aux jeux vidéo ont été ajoutés à ces exercices, vous trouverez alors les mêmes éléments : un tableau des scores, vos performances sont notées, vous pouvez vous comparer aux autres, etc.
Aujourd’hui, vous pouvez faire la même chose avec le logiciel Habitica.
Habitica est un logiciel qui vise à vous créer des habitudes (les bonnes) et à augmenter votre productivité. Son atout est qu’il va venir « ludifier » votre vie (la rendre ludique). Vous retrouverez exactement les mêmes mécaniques que dans le jeu vidéo, d’ailleurs plus vous atteindrez vos objectifs dans la vie et plus votre personnage sera puissant dans le jeu. Pour gagner des points, il suffit de réaliser des tâches que vous aurez vous-même fixées dans votre vie.
https://www.youtube.com/watch?v=u4xYzioZxVo
Pour retirer le maximum de ce logiciel, suivez ces règles simples et fondamentales :
1. Fixez-vous des actions à réaliser extrêmement simples. Notre seuil de satisfaction est généralement très (trop) haut et notre seuil d’insatisfaction au contraire est très facilement franchie, ne soyez pas trop dur avec vous. Utilisez plutôt la philosophie des jeux vidéo où toute action bénéfique est récompensée.
2. Pour les objectifs plus complexes, procédez par jalons (en posant des objectifs intermédiaires).
3. Combinez Habitica à d’autres applications pour décupler vos performances. Imaginons que vous voulez améliorer votre vocabulaire dans une langue étrangère, apprenez 10 mots de plus par jour et rajoutez ces mots dans Anki (vous trouverez une vidéo de présentation d’Anki ici : un super outil pour développer votre mémoire).
4. Si vous voulez apprendre votre vocabulaire plus souvent, inscrivez dans Habitica « Faire 20 minutes de vocabulaire tous les jours grâce à Anki ».
5. La récompense peut aussi être réelle et pas seulement virtuelle. La récompense n’est pas une sucrerie, cela peut par exemple être un moment où vous prenez le temps de vous rendre compte de ce que vous venez d’accomplir et de vous féliciter.
Ce logiciel va venir ensuite créer une habitude chez vous et rendra vos tâches plus ludiques, plus intéressantes.
Plus vous jouez à un jeu vidéo et plus vous serez bon à ce jeu. De la même manière que dans la vie, plus vous vous exercez, plus vous serez bon. Les jeux vidéo nous rappellent cette leçon élémentaire : c’est en forgeant que l’on devient forgeron.
Enfin, un dernier conseil qui viendra amplifier tous vos résultats, exercez-vous tous les jours et prenez vos huit heures de sommeil. Nous sous-estimons les effets néfastes du manque de sommeil, j’ai écrit un article sur ce sujet si vous voulez en savoir plus.
A vous de jouer !
Créez-vous un compte Habitica, inscrivez 3 tâches que vous êtes sûr d’accomplir, cela vous permettra de vous familiariser avec le logiciel. Suivez les conseils de la partie précédente pour utiliser au mieux le logiciel. Vous nourrirez le logiciel avec des tâches supplémentaires quand vous vous sentirez à l’aise. Surtout, ne vous lancez pas dans un chantier immense, procédez par petites touches.
Et si on prenait des cours de cerveau? Avec Kevin Finel
Il n’existe pas de mode d’emploi pour le cerveau.
Le cerveau est l’outil le plus extraordinaire qui soit mais étrangement c’est le seul outil qui ne possède pas de mode d’emploi, comme je l’évoque dans la vidéo de bienvenue de ma chaîne YouTube. On peut trouver un guide d’utilisation pour à peu près tout mais il n’existe rien pour apprendre à mieux utiliser notre cerveau génial, l’organe le plus complexe et le plus intime alors que cela devrait être une priorité d’éducation!
Des cours de cerveau au CP?
Et si on nous apprenait dès notre plus jeune âge à mieux utiliser notre cerveau pour améliorer notre vie au quotidien? Dans cette intervention au TEDx, Kévin Finel, formateur en hypnothérapie et directeur de l’école de formation en hypnose ARCHE, part de cette idée originale pour nous expliquer avec humour comment il est possible d’optimiser le fonctionnement et les capacités de notre cerveau grâce aux techniques utilisées en hypnose.
Pour aller plus loin :
Méditations profondes, expériences mystiques et neurosciences : l’atelier du Dr Joe Dispenza en Italie!
Méditations profondes, expériences mystiques et neurosciences…
Il y a quelques semaines, j’ai vécu une expérience étonnante lors de l’atelier avancé du Docteur Joe Dispenza, ce spécialiste du cerveau mondialement connu. Dans cette vidéo, je vous fais un retour d’expérience sur cela et vous explique les nouvelles découvertes fascinantes sur les pouvoirs du cerveau.
Les neurotransmetteurs du bonheur avec Elisabeth Grimaud
Notre cerveau est électrochimique!
Notre cerveau est une pile car il est parcouru par une tension électrique qui circule dans nos 100 milliards de neurones, chacun étant relié aux autres par pas moins de 10 000 connexions. Cette tension est mesurable notamment grâce à un electroencéphalogramme (EEG).
Au niveau de chaque connexion entre deux neurones, il y a une sorte de vide (appelé l’espace intersynaptique) dans lequel s’échangent des molécules chimiques qu’on appelle les neurotransmetteurs. Vous avez peut-être déjà entendu parler des endorphines, de la dopamine ou de la sérotonine? Notre cerveau possède une soixantaine de ces neurotransmetteurs différents qui ont chacun des propriétés particulières (énergisant, euphorisant, calmant, excitant, apaisant, aimant…).
C’est grâce cette tension électrique et ces échanges chimiques que notre esprit (qui est le cerveau en action), fonctionne en permanence.
Alors que vous lisez ces lignes et avez une compréhension de l’introduction de cet article (je l’espère!), votre cerveau est parcouru d’un courant bioélectrique et vos nombreux neurones échangent ces fameux éléments chimiques. C’est comme cela que fonctionne votre esprit.
Cette chimie du cerveau a une incidence directe sur notre humeur, nos ressentis, nos émotions et notre personnalité. Nous savons bien à quel point cette chimie en nous (dans le cerveau avec les neurotransmetteurs comme dans le corps avec les hormones) peut influencer notre personnalité.
A titre d’exemple, en fonction de son cycle menstruel, une femme peut avoir des réactions complètement différente. De même que sous l’emprise du désir, nous pouvons parfois faire des choses insensées…
Mieux utiliser son cerveau pour être plus heureux…
Elisabeth Grimaud est une psycholinguiste diplômée d’un double Master en Recherche des Sciences du langage et Psychologie. Egalement diététicienne et éducatrice sportive, elle est une passionnée de ce cerveau génial qu’elle explore et étudie sous tous ses angles avec un seul objectif : en améliorer le mode de fonctionnement et les capacités.
Dans cette intervention au TEDxRoanne, Elisabeth nous explique le fonctionnement du cerveau à travers une balade dans l’Alhambra et comment mieux l’utiliser pour trouver le bonheur.
Pour aller plus loin, je vous conseille la lecture de ce livre :
Un cerveau optimiste pour une vie réussie,
l’interview de Michel Poulaert
Michel Poulaert est un formateur et conférencier international, spécialiste de l’optimiste. Lors de cette interview, il va vous expliquer comment être plus optimiste dans votre vie quotidienne et comment cela va vous permettre d’améliorer votre vie personnelle et professionnelle.
Comment trouver l’interrupteur à créativité ?
Un cerveau en panne d’idées…
Parfois on a l’impression d’être complètement en panne d’inspiration… Comme les écrivains peuvent être victimes de la peur de la page blanche, les musiciens ou autres artistes peuvent également ressentir ce vide intersidéral de l’esprit juste au moment où l’on voudrait faire preuve de créativité.
Dans ces moments-là, la volonté ne suffit pas car l’esprit se sent démuni devant une absence soudaine d’inspiration. On se sent bloqué, le cerveau comme à l’arrêt. Si vous avez déjà vécu cette expérience en tant qu’artiste, cet article va vous donner les outils nécessaires pour ne plus jamais revivre cela.
A la recherche de la zone de créativité
On a longtemps pensé que le cerveau gauche était le siège de la partie rationnelle de notre esprit (centre de l’analyse, du calcul et de la conscience) alors que le cerveau droit était plutôt le côté émotionnel (l’imagination, le créatif, l’inconscient).
Les neurosciences nous expliquent que la réalité est beaucoup plus complexe que cela. Il ne semble pas y avoir de zone spécifiquement dédiée à la créativité dans notre cerveau mais plutôt un ensemble d’aires cérébrales différentes liées à la créativité et à l’imaginaire. Le processus créatif semble être alors un processus cognitif complexe qui fonctionne différemment de la réflexion consciente.
Bien sûr, on va trouver des personnalités plus créatives que d’autres, des techniques qui stimulent la créativité ou des astuces qu’utilisent les personnes créatives qui permettent à tout un chacun de se placer dans un état créatif optimal. Mais la créativité reste avant tout un état d’esprit particulier, comme une sorte d’énergie mentale à part.
Ce qui est intéressant cependant, c’est que vous pouvez influer consciemment sur cette énergie mentale et déclencher très rapidement un changement d’état interne pour générer cette créativité!
N’avez vous jamais vécu une situation de ce genre?
Vous sentiez un peu fatigué en cette fin de journée mais la robe plutôt moulante de votre ravissante voisine croisée dans le hall de votre résidence vous sort de votre torpeur pour vous installer dans un état de vigilance érotique.
La fête battait son plein et vous n’étiez pas la dernière sur la piste de danse lorsque vous avez entendu le morceau de musique sur lequel votre ex vous a quittée… Ce qui vous a fait passer sans transition d’un état d’esprit festif à un état de mélancolie pesante.
Vous rentriez du travail préoccupée par le dossier X quand votre fille de quatre ans vous a accueillie en vous serrant fort dans ses petits bras avec des bisous. Vous êtes passée en un instant du stress de la journée à la sérénité absolue.
Pas de doute, vous avez la capacité de changer d’état émotionnel en une seconde!
Dans toutes ces situations de la vie quotidienne, vous êtes capable de changer d’état interne très rapidement en passant d’une émotion désagréable à une émotion agréable (ou réciproquement) à l’aide d’un stimulus extérieur (la robe sexy de la voisine, le morceau de musique fatal ou le câlin de votre enfant).
Ces stimuli parlent à nos différents sens (visuel, auditif ou kinesthésique) et modifient en un instant notre état interne. Vous voyez, entendez ou ressentez une information en provenance de l’extérieur qui va déclencher un changement émotionnel à l’intérieur de vous-même. En une seconde, votre énergie, votre physiologie et votre état mental changent.
Le bouton de la télécommande
Il est possible d’apprendre à maîtriser ces changements internes à votre bénéfice. Au lieu de rester passif face à des déclencheurs extérieurs qui nous font basculer d’un état émotionnel à un autre, vous pouvez apprendre à gérer cela différemment et gagner ainsi en contrôle sur nous-mêmes.
Ne serait-il pas intéressant de programmer votre cerveau pour réagir à un stimulus volontaire qui produirait automatiquement un changement d’état d’esprit spécifique?
Et à l’aide d’un déclencheur particulier (comme le bouton de télécommande qui lance un programme tv), vous pourriez ainsi changer d’état interne à volonté en basculant dans un état de confiance en soi, de concentration, de détente, d’énergie ou de plaisir… ou, dans le cas présent, influencer votre cerveau pour passer instantanément dans état d’esprit créatif?
Déclenchez l’’interrupteur à créativité
Pour apprendre à déclencher instantanément l’état interne de créativité, il faut passer par les trois étapes suivantes :
1 – Identifiez le processus créatif
Recréez les conditions dans lesquelles vous êtes le plus créatif en vous rappelant la dernière situation dans laquelle vous avez été particulièrement en état de créativité ou celle qui a été la plus intense.
Etait-ce plutôt en début de journée, l‘après-midi ou en soirée? A quelle heure précisément?
A quel endroit? Assis à votre bureau? Sur le balcon ou allongé sur le canapé?
Etiez-vous dans un silence absolu ou aviez-vous mis un certain type de musique?
Recréez au mieux les conditions afin de vous ré-installer dans le contexte de créativité optimale.
2 – associez un geste, un son et une image
Dans ces conditions idéales, à chaque fois que vous vous trouvez spontanément créatif (par exemple, après avoir composé une mélodie harmonieuse, écrit plusieurs pages d’une nouvelle ou juste trouver de nouvelles idées pour un projet), concentrez-vous sur l’état interne dans lequel vous êtes à ce moment-là.
Puis créer un geste particulier pour l’associer à cet état : placez votre main gauche sur votre coeur ou serrez deux doigts de la main droite d’une certaine façon ou recroquevillez vos orteils dans vos chaussures… (pour le côté kinesthésique).
Ensuite donnez un nom à cet état en prononçant un son particulier, par exemple, dites à haute voix : “créativité” ou “caramba!” ou “yes!” (pour le côté auditif).
Puis associez également une image à cet état :pensez à un objet qui symbolise pour vous la créativité ou visualisez un endroit particulier ou une couleur qui représente pour vous la créativité (pour le côté visuel).
Associez alors, en même temps dans votre esprit, le geste, le mot et l’image à cette énergie créative spontanée que vous ressentez à l’instant présent. Un peu comme lorsque on appuie sur la touche “enter” pour sauvegarder un document informatique.
3 – répétez l’opération pour créer le conditionnement
Pour que cela soit efficace, il faut faire répéter ce processus entre 10 et 20 fois lors de vos prochaines expériences de créativité spontanées, de manière à ce que cela devienne un véritable réflexe conditionné et que cela rende ce conditionnement de plus en plus puissant. Après chaque moment de réelle créativité, pensez toujours à prendre une seconde pour ancrer cet état interne en vous avec le même geste, mot et visuel.
Comme dans tout apprentissage, la répétition va faire son œuvre et votre inconscient va créer un lien entre cet état de créativité et ce geste, ce mot et cette image ou couleur. Vous êtes en train de créer un véritable signal interne de créativité.
En répétant cette opération, vous allez rendre ce signal de plus en plus fort.
Au final, tout se passe comme si vous aviez installé un interrupteur à créativité sur lequel il suffit juste d’appuyer pour devenir créatif à volonté!
Dr Joe Dispenza en Italie, j’y vais!
Arrivée au Lac de Garde en Italie pour l’advanced workshop (atelier niveau 2) du Docteur Joe Dispenza. Ce scientifique est en train de révolutionner littéralement nos connaissances sur le cerveau en ayant crée un modèle qui intègre les apports des Neurosciences, de la Physique Quantique, de l’Epigénétique, de la Neurobiologie et de la Méditation. Ce scientifique nous apprend comment prendre possession de notre pouvoir créateur en utilisant notre cerveau comme un émetteur/récepteur qui attire vers nous nos rêves de vie. De quoi vous retourner le cerveau!
Paramétrez votre cerveau pour le bonheur
Le bonheur se mérite et c’est un travail de chaque instant! Cette vidéo vous présente une technique simple et efficace pour paramétrer efficacement votre cerveau dans le sens de votre épanouissement.
Comment rendre votre cerveau plus heureux
Devenir plus heureux suppose d’utiliser des techniques mentales spécifiques qui orientent progressivement l’état d’esprit vers le bonheur. Cette vidéo va vous apprendre comment procéder pour vous connecter à la gratitude et vous sentir de mieux en mieux chaque jour.
La cigarette trompe votre cerveau !
Vous êtes persuadé(e) que la cigarette est un vrai plaisir alors que la première que vous avez fumé avait vraiment mauvais goût… C’est parce que votre cerveau se fait abuser malgré vous. Découvrez cela dans cette vidéo.
Déprogrammez votre cerveau de la cigarette
L’addiction à la cigarette, c’est beaucoup plus qu’on ne le pense, une question d’habitude. Cette vidéo vous explique comment modifier les anciens conditionnements pour retrouver votre liberté sans efforts.
Comment retenir le nom des gens à coup sûr
Quand on croise des gens en soirées, dans des rencontres professionnelles ou ailleurs, on a en général tendance à ne pas imprimer le nom des personnes qui se présentent à nous, ce qui peut être gênant… Cette vidéo vous donne une technique pour assurer à tous les coups!
La méthode pour atteindre ses objectifs
Se fixer des objectifs et les atteindre est la meilleure façon d’avoir une vie remplie et épanouissante. Mais pour éviter l’écueil de la procrastination et de l’inaction, il faut utiliser une méthode que partagent tous les gens qui réussissent dans n’importe quel domaine! Je partage cela avec vous dans cette vidéo.
Votre cerveau est une pile ! (version audio)
Votre cerveau est un véritable générateur d’électricité composé de plusieurs ondes cérébrales plus ou moins rapides en fonction que vous êtes dans un état très agité ou à l’inverse profondément endormi. Grâce à ce podcast (qui est la version audio de la vidéo du même nom), apprenez à mieux comprendre le fonctionnement électrique de votre cerveau pour mieux maîtriser votre vie.
Vous pouvez écouter ce podcast en cliquant sur le bouton play en haut ou télécharger le mp3 en cliquant sur ce lien.
Comment changer d’état émotionnel à volonté
Comment utiliser votre cerveau de la mauvaise façon?
Votre cerveau est l’outil le plus puissant que l’on connaisse mais c’est le seul outil qui n’a pas de mode d’emploi. Grâce à ce podcast vous allez découvrir comment mieux utiliser votre cerveau pour la résolution de problèmes qu quotidien et ainsi améliorer votre vie.
Vous pouvez écouter ce podcast en cliquant sur le bouton play en haut ou télécharger le mp3 en cliquant sur ce lien.
Pour toute question ou remarque ou simplement parce que le contenu de ce podcast vous a plu, n’hésitez pas à laisser un commentaire dans la zone prévue à cet effet ci-dessous.
Devenir un fainéant intelligent grâce à votre cerveau
Un podcast pour découvrir une méthode simple et puissante pour mieux travailler en moins de temps en musclant la concentration et en vous permettant d’optimiser les capacités de travail de votre cerveau.
Vous pouvez écouter ce podcast en cliquant sur le bouton play en haut ou télécharger le mp3 en cliquant sur ce lien.
Pour toute question ou remarque ou simplement parce que le contenu de ce podcast vous a plu, n’hésitez pas à laisser un commentaire dans la zone prévue à cet effet ci-dessous.
Câblez votre cerveau pour la confiance en soi
Souriez, vous êtes filmé(e)…
Notre cerveau gère entre 60 et 70000 pensées par jour et 95% de ces pensées sont récurrentes d’un jour sur l’autre… Comme la grande partie de nos pensées sont toujours les mêmes, nous avons d’un jour sur l’autre les mêmes idées qui nous font avoir les mêmes comportements. Les mêmes comportements amènent les mêmes expériences, qui nous font vivre les mêmes émotions. Ce qui amènent les mêmes pensées et la boucle est bouclée.
Nous sommes donc naturellement conçus pour vivre une grande partie du temps en pilote automatique. Sans vous connaître intimement, je sais ce que vous faites chez vous, comme si je vous filmais à votre insu.
Je sais que vous avez votre place dans le lit et que vous vous endormez toujours de la même façon. Le matin, après que le réveil ait sonné à la même heure que d’habitude, vous allez faire vos rituels dans la salle de bain et puis vous vous dirigez vers la cuisine pour prendre le même petit déjeuner. Je sais que vous avez votre mug pour votre café ou votre thé…
80% des choses que vous faites entre le moment où vous vous levez et le moment où vous partez au travail, vous le faites en pilote automatique. Vous êtes dans votre zone de confort.
Métro, boulot, dodo…
Avoir une zone de confort est très important car c’est la seule zone de notre vie où on se sent rassuré. Et le besoin de sécurité fait partie des besoins de base de l’être humain dans la pyramide de Maslow.
On comprend la nécessité urgente de construire sa zone de confort quand on emménage par exemple : les premières 24 heures dans une nouvelle maison, il faut mettre en place ses points de repères (où je mets mes vêtements, mes clés, ma musique…) et dans les 48 premières heures, il faut localiser où est son épicier, son bureau de tabac, sa pharmacie… La zone de confort est nécessaire et rassurante.
L’autre zone
Mais le problème de la zone de confort, c’est qu’on y stagne et on s’y ennuie rapidement. Car tout ce qui vous a fait grandir dans votre vie, vous l’avez appris dans l’autre zone : la zone d’inconfort!
Comment on reconnaît que l’on est dans la zone d’inconfort?
C’est parce que c’est inconfortable! Ce sont les moments de votre vie où vous êtes stressé(e), où vous vous sentez mal à l’aise et vous préfèreriez être chez vous… Et retourner dans votre zone de confort.
Quel est l’intérêt à aller dans cette zone d’inconfort puisque c’est inconfortable?
C’est dans cette zone que vous avez acquis TOUT ce que vous savez aujourd’hui. Tous vos apprentissages, toutes vos expériences, tout ce qui vous a construit, vous l’avez appris dans cette fameuse zone d’inconfort. C’est la zone où vous grandissez.
Qu’est-ce que cela signifie quand la zone d’inconfort fini à la longue par ne plus être inconfortable?
Cela veut dire que c’est devenu votre nouvelle zone de confort. Et quand vous augmenter votre zone de confort, vous développez votre confiance en vous.
Cerveau en construction
Rappelez-vous quand vous étiez bébé… A un an, vous marchiez à quatre pattes depuis quelques temps et marcher de cette façon était votre zone de confort. Puis vous avez remarqué que “les grands” se tenaient debout sur leur deux jambes et vous avez ambitionné de faire pareil. Savez-vous combien de fois on tombe sur ses fesses quand on apprend à marcher? En moyenne 2000 fois.
Alors vous avez essayé de vous levez, vous êtes tombé sur vos fesses, vous vous êtes fait mal parfois, vous vous êtes senti(e) frustré(e), vous avez pleuré…
Vous étiez en plein dans votre zone d’inconfort en train d’apprendre à marcher.
Heureusement, étant enfant, vous étiez beaucoup plus persistant(e) qu’aujourd’hui et vous ne considériez pas les chutes nombreuses comme des échecs mais juste comme des tentatives infructueuses. Vous vous êtes relevé(e). Chaque fois. Jusqu’au jour où vous avez marché!
Et maintenant, vous savez tellement marcher que vous le faites sans y penser, en écoutant de la musique, en parlant à quelqu’un ou en écrivant un sms. Marcher est maintenant devenu votre nouvelle zone de confort.
Qu’avez –vous gagné dans cette expérience, au-delà de la compétence de savoir marcher?
Vous avez intégré un apprentissage, créer des milliers de connexions neuronales dans votre cerveau et développé votre confiance en vous!
Car lorsque l’on sait marcher, on a plus confiance en soi que lorsque l’on ne sait pas.
Vous êtes sorti de votre zone de confort pour aller dans votre zone d’inconfort. Puis vous avez répété cette expérience difficile jusqu’à ce que la zone d’inconfort devienne enfin votre nouvelle zone de confort. En élargissant ainsi votre zone de confort à ce nouveau territoire, vous avez développé votre confiance en vous.
Je paramètre mon cerveau pour le kitesurf
En ce moment j’appends le kitesurf.
Autant vous dire que je suis plus souvent dans l’eau en train de lutter avec ma voile que sur la planche à prendre du plaisir.
Il faut maintenir et diriger la voile dans les airs, penser au sens du vent et, en même temps, à son équilibre sur la planche, penser à sa direction et à tous les autres kitesurfs qui sont autour. Bref, ce n’est pas facile et cela me stresse!
Si je ne me focalise uniquement sur les sensations physiques désagréables du stress, je n’ai qu’une envie : plier le matériel et rentrer à la maison dans ma zone de confort. Mais je sais ce que veulent dire ces sensations désagréables : c’est juste un signal qui m’indique que je suis dans ma zone d’inconfort. Car je suis en train d’apprendre quelque chose de nouveau (faire du kite). Je suis en train d’élargir ma zone de confort et donc je développe ma confiance en moi.
La confiance en soi est la clé pour tout réussir
La confiance en soi, c’est la capacité à passer à l’action et sans confiance en soi, tout devient compliqué.
Il devient impossible d’aborder cette fille ou ce garçon qui vous plaît, de démarcher de nouveaux clients, de poser votre candidature à tel poste, de vous présenter devant ce jury, de donner votre avis devant un auditoire, d’exprimer ce qui vous anime, de demander une augmentation à votre patron, de changer de job, de négocier ce prêt immobilier avec votre banque ou d’acheter cet appartement qui vous plaît.
Mais avec la confiance en soi, tout devient possible car c’est véritablement le passeport pour avancer dans la vie et réussir.
Certains partent dans la vie avec une bonne dose de confiance, d’autres non. Peu importe en fait car la confiance en soi, c’est comme un muscle. Cela se développe avec l’exercice. Comme quelqu’un qui entrerait dans une salle de gym pour la première fois de sa vie. Si vous n’avez pas confiance en vous, vous pouvez la travaillez jusqu’à en avoir suffisamment. Si vous avez déjà confiance en vous, vous pouvez la travailler pour en avoir encore plus!
Câblez votre cerveau
Quand vous allez dans votre zone d’inconfort, vous créer des connexions entre vos neurones. C’est comme si vous tiriez des câbles dans votre cerveau et cela représente les fibres du muscle de la confiance en soi.
Il y a cent milliards de neurones dans votre cerveau et 10 à 40 000 connexions entre chaque neurone. Ce sont ces connexions qui font la puissance de votre cerveau, son unicité et donc votre personnalité. Chaque nouvelle expérience faite dans une des zones d’inconfort de votre vie va créer des nouvelles connexions neuronales dans votre cerveau. La répétition de cette expérience va les fortifier, ce qui explique que ça devient de plus en plus facile de faire quelque chose.
Lorsque les connexions neuronales sont devenues solides, vous avez alors la sensation d’être en zone de confort. En sortant régulièrement de votre zone de confort pour aller dans votre zone d’inconfort, vous avez véritablement une action sur votre matière grise car vous créez des nouvelles connexions entre vos neurones et vous développer votre confiance en vous.
Challenge 30 jours !
Prenez en main votre destin et décidez de câbler votre cerveau vers la réussite.
Mesurez votre confiance en vous. Quelle note vous donnez-vous en moyenne sur 10?
A partir d’aujourd’hui et pour le mois à venir, je vous mets au défi de développer significativement votre confiance en vous et de prendre au moins deux ou trois points de confiance supplémentaires.
Dès maintenant, je veux que vous fassiez tous les jours une chose qui vous stresse, qui vous met mal à l’aise, qui vous paralyse. Il ne s’agit pas de faire quelque chose de dangereux qui mettrait en péril votre intégrité physique ou morale. Non rien de tout cela. Il s’agit de ces petits stress du quotidien où l’on se dit “Ah si j’osais…”.
Il s’agit d’aller parler à cette personne qui vous plaît. De lever le doigt en classe. De dire “non” à quelqu’un. De prendre la parole dans une réunion. De demander aussi beaucoup : une ristourne, un supplément de frites à la cantine, de faire réchauffer votre assiette un peu tiède au restaurant ou faire changer votre verre de vin bouchonné, de donner votre avis authentique, de demander à être surclasseé(e) sur un vol, de faire quelque chose que vous n’avez jamais fait.
Quand vous sentez cette sensation désagréable du stress en vous, c’est juste votre inconscient qui vous indique que vous êtes dans votre zone d’inconfort.
Défocalisez du côté pénible de la sensation physique qui vous implore de retourner dans votre zone de confort, là où on stagne. C’est juste une information qui vous montre la direction à prendre pour grandir et réussir votre vie.
Votre gorge se serre, votre bouche est sèche, votre voix tremble ou vos mains sont moites?
Bonne nouvelle, cela veut dire que vous êtes devant une opportunité de développer votre confiance en vous! Comme le disait Jack Canfield “Tout ce que vous désirez est de l’autre côté de la peur.”
crédits photos fotolia
Gérez votre stress sans effort et sans perdre de temps
Un podcast pour vous apprendre à maîtriser une technique-antidote contre le stress qui est ce poison que l’on nous inocule au quotidien. Le stress réduit nos capacités cérébrales et épuise nos ressources physiques pouvant nous amener jusqu’à des extrémités (pathologies de stress, déprime, dépression, burn-out). Cette méthode va vous permettre de reprendre le contrôle et aller vers un mieux-être.
Vous pouvez écouter ce podcast en cliquant sur le bouton play en haut ou télécharger le mp3 en cliquant sur ce lien.
Arrêtez de FUMER avec la cigarette INVISIBLE
Comment déprogrammer votre cerveau de la cigarette
Accroc, oui mais comment?
Le problème de l’addiction à la cigarette se divise en en trois : l’addiction physique, l’addiction psychologique et comportementale.
1. L’addiction physique.
C’est celle que tout le monde croit avoir mais que très peu de gens ont. Si vous faites partie de ceux qui rentrent en transe dans un avion après deux heures de vol, qui sont pris de sueurs, de tremblements et de toutes les caractéristiques d’un drogué en état de manque, alors vous avez une véritable addiction physique à la cigarette.
Sinon, cela ne vous concerne pas. Une thérapie médicamenteuse ou un accompagnement thérapeutique de qualité (hypnothérapie, psychothérapie classique, thérapie comportementale…) sera alors probablement nécessaire pour vous libérer de la cigarette.
2. L’addiction psychologique
On la retrouve en revanche chez la plupart des fumeurs. Elle est suffisamment puissante pour faire croire qu’elle est physique, car le mental est assez puissant pour créer ce type de réactions dans le corps, comme c’est le cas avec l’effet placebo ou nocebo.
L’addiction psychologique fait passer la cigarette, dans l’esprit du fumeur, comme une tentative de solution pour gérer les émotions. Les fumeurs y voient une béquille psychologique qui leur permet de mieux gérer leur stress, anxiété, peurs sociales ou solitude.
La solution réside alors dans un travail sur soi pour apprendre à mieux gérer ses émotions autrement, seul(e) ou avec l’aide d’un professionnel (hypnothérapie, acupuncture, shiatsu, patches…) ou par la technique dont je parle dans l’article “Comment arrêter de fumer en votant FN!”.
3. Le comportemental
Ce sont les habitudes et c’est souvent la partie la plus importante. On retrouve cette problématique chez la plupart des fumeurs car la cigarette possède le talent de s’associer très facilement à tous les contextes de vie.
Le corps est habitué à faire le geste de fumer (si vous fumez un paquet par jour, soit 20 cigarettes, et que vous portez une cigarette disons 10 fois à la bouche pour la fumer entière; vous faites le geste de fumer 200 fois par jour. Si vous fumez depuis 20 ans, vous aurez au final fait ce geste presque 1,5 million de fois dans votre vie). Cela ne peut pas être neutre.
Mais au-delà de ce geste répétitif, la cigarette s’est aussi associée à des moments positifs particuliers : la cigarette et le café, la cigarette et la pause, la cigarette et la fin du repas, la cigarette et la sortie du bureau, la cigarette et l’apéro, la cigarette rituel de fin de journée, la cigarette avant de se mettre au lit…
Votre cerveau est conditionné
Ivan Pavlov, un scientifique russe né au milieu du XIXe siècle, a été un des premiers a travailler sur les réflexes conditionnés, notamment avec sa célèbre expérience sur la salivation des chiens.
A plusieurs reprises, il fait sonner une cloche chaque fois qu’il présente de la viande aux chiens, entraînant ainsi les chiens à associer par la répétition, un stimulus neutre (la cloche) avec un stimulus porteur de sens (la viande). Après un certain nombre de répétitions, les animaux intègrent dans leur mémoire un lien entre les deux stimuli. Lorsqu’ensuite Pavlov fait simplement sonner la cloche (sans présenter de nourriture), les chiens salivent. Le conditionnement est créé.
Ce qui se passe dans le cerveau du chien se produit de la même façon dans le nôtre. Des liens se créent entre la cigarette et les différents stimuli de l’environnement et le cerveau en tire un apprentissage, à l’insu même de son propriétaire. On parle alors de réflexes conditionnés. Mais à la différence des réflexes simples (comme le réflexe rotulien), ne faisant pas intervenir les centres supérieurs cérébraux, ces associations établies entre la cigarette et des expériences sensorielles sont liées à un apprentissage plus complexe mettant en jeu différentes structures cérébrales.
Ainsi, la cigarette s’associe à différents moments qui rythment la journée et la répétition de ces moments renforce en permanence ce conditionnement. Le fumeur n’est alors plus libre de ces mouvements, il est conditionné car son cerveau est programmé malgré lui.
Une grande partie des envies de fumer ressentie par le fumeur ne sont alors ni dues à un manque physique de nicotine, ni dues à un besoin de béquille émotionnelle mais simplement à la répétition d’un geste associé, comme les chiens de Pavlov. Le fumeur a brusquement envie de fumer, les chiens salivent, même combat.
Comment reprogrammer votre cerveau ?
Par ce réflexe dit de Pavlov, le fumeur est programmé malgré lui à avoir envie de fumer dans tous les contextes de vie qui correspondent aux stimuli.
Comme je l’évoquais un peu plus haut, les principaux stimuli sont :
– le moment du réveil
– la prise de café
– les trajets pour aller au travail
– le début de la journée de travail
– les pauses au travail
– la fin des repas
– une conversation téléphonique
– la fin de la journée de travail
– le moment de l’apéritif
– les soirées
– avant d’aller se coucher…
La méthode des plans « B »
Pour pouvoir se libérer de ces réflexes conditionnés qui vous enchaînent, il va falloir mettre en place des plans B, c’est-à-dire de nouveaux comportements ou de nouveaux contextes que vous allez installés pendant 21 jours et qui vont vous permettre de dépasser l’envie réflexe de cigarette.
Voyez cela comme une mécanique bien huilée : la cigarette a été fumée tellement de fois avec la prise de café que, dès que vous buvez un café, c’est plus fort que vous, vous avez envie d’une cigarette. Vous êtes tel le chien qui salive, c’est Pavlovien!
Pour installer une nouvelle habitude, il faut trois semaines. Et pour désinstaller une mauvaise habitude, il faut autant de temps. Mais la nature ayant horreur du vide, lorsque vous voulez supprimer une ancienne habitude, il convient de la remplacer durant cette période par une autre action qui va venir en substitution : ce que j’appelle le plan B.
Alors pour lutter contre cela et retrouver votre liberté d’esprit, je vais vous proposer ci-dessous un certain nombre de plans B que vous allez pouvoir mettre immédiatement en place, et ce, durant les trois prochaines semaines. Ce qui va vous permettre d’en finir avec votre addiction à la cigarette ou du moins, vous permettre de la diminuer significativement.
Anciens réflexes conditionnés |
Propositions de plans B
|
La cigarette au moment du réveil |
Allez prendre votre douche en premier |
La cigarette avec la prise de café |
Ne buvez plus de café ou passez au thé pendant 3 semaines |
La cigarette durant les trajets pour aller
|
Optez pour une autre habitude buccale :
|
La cigarette pour commencer le début de la journée de travail |
Faites un exercice de respiration, ou étirez- vous, ou faites 10 pompes |
La cigarette durant les pauses au travail |
A la place, prenez un chewing gum ou un verre d’eau |
La cigarette à la fin des repas |
Allez vous brossez les dents à la fin du repas |
La cigarette lors d’une conversation téléphonique |
Verre d’eau, chewing gum, thé… |
La cigarette à la fin de la journée de travail |
Faites un exercice de respiration ou étirez- vous ou faites 10 pompes |
La cigarette au moment de l’apéritif |
Changez votre boisson habituelle : si vous buvez de la bière, passez au rosé (ou autre boisson de votre choix) |
La cigarette en soirée |
Changez votre boisson habituelle : si vous buvez de la bière, passez au rosé (ou autre boisson de votre choix) |
La cigarette avant d’aller se coucher |
Optez pour une tisane ou un verre d’eau |
La cigarette après l’amour |
Idem |
Votre cerveau a des envies « flash éclair »
Une fois que vous serez enfin libéré(e) de la cigarette, il y aura encore toujours des envies “flash éclair” qui correspondent à des stimuli contextuels (exemple : dans une soirée, vous voyez un ami avec un verre à la main et une cigarette et l’envie de cigarette apparaît).
J’appelle cela des envies “flash éclair” parce qu’elle ne durent pas. Les études montrent que ces envies passent d’elles-mêmes – que la pulsion de cigarette soit assouvie ou non – entre deux et trois minutes. Vous serrez les fesses et ça passe.
C’est le même principe que lorsque vous passez devant une bonne boulangerie. Les études montrent que les gens ralentissent le pas à cause des odeurs de pains et de croissants. Passé le coin de la rue, ils n’y pensent plus.
Pour la cigarette, c’est la même chose. A partir du moment où vous reprogrammez votre cerveau et le libérez de cette habitude ancrée, il existe toujours quelques connexions neuronales liées à la prise de cigarette. C’est elles qui activent des envies “flash éclair”. Mais ces dernières n’étant plus stimulées par la répétition des gestes du fumeur, elles vont disparaître progressivement sur quelques semaines voire quelques mois en fonction des personnes.
crédits photos Luciano Belviso
Comment arrêter de fumer en votant FN !
Vous croyez que vous n’avez pas assez de volonté pour vous libérer de la cigarette?
Vous vous trompez!
Je vais vous donner une méthode étonnante, simple et efficace pour en finir avec le tabac maintenant.
Condition de base : être décidé(e)
Pour réussir un arrêt du tabac, il faut être prêt(e).
On commence souvent à fumer à l’adolescence, pour faire comme les copains (les études marketing montrent que si le consommateur commence à fumer avant 21 ans, il a plus de chance de devenir un consommateur à vie. C’est pourquoi les publicités encore non-interdites ciblent en premier les ados).
C’est avec le temps que l’envie d’arrêter peut parfois venir, ou avec un accident de la vie (cancer du poumon d’un proche) ou à la grâce d’un heureux événement comme l’arrivée d’un bébé.
Un jour, on se sent prêt(e) pour passer le cap. Cette décision ne se prend pas avec la tête mais avec les tripes. A ce moment-là seulement on est prêt à arrêter. Avant, c’est trop tôt et ça n’aurait pas marché ou pas tenu.
Deux cerveaux et un carnet de chèques
Vous allez avoir besoin de deux choses essentielles pour arrêter de fumer par cette méthode :
1. votre carnet de chèques
2. une personne de confiance. Choisissez dans votre entourage un proche dans lequel vous avez absolument confiance : votre meilleur(e) ami(e), votre mère, votre père, votre frère ou cousin(e). Quelqu’un à qui vous ne mentez pas.
La technique pour arrêter de fumer maintenant
Cette méthode simple et efficace se décompose en trois étapes distinctes :
1. L’ennemi
Il va falloir vous choisir un ennemi. Choisissez une personne, une organisation, un parti politique que vous détestez car il se trouve à l’opposé de vos valeurs. Plutôt mourir que de lui/leur donner quelque chose.
Pour l’exemple, on va imaginez que vous choisissez le Front National.
2. Le chèque
Dans un second temps, remplissez un chèque à l’ordre de votre ennemi justement, pour un montant de 500 euros. Vous avez bien lu, pas 100, ni 200, ni 300 ou 400 mais bien 500 euros! Le montant a son importance. Puis vous datez et signez le chèque.
3. Le double engagement
Remettez le chèque de 500 euros, à l’ordre de votre ennemi juré, à votre personne de confiance et engagez-vous auprès d’elle à ne pas toucher une cigarette pendant 30 jours à partir du jour de la remise du chèque.
Pas une cigarette, pas une demi cigarette, même pas une taf. Pas d’excuse.
Engagez-vous également à être complètement transparent avec elle et à la tenir au courant de tout manquement. Donnez votre parole. C’est une personne de confiance, elle croit en votre parole et vous ne pouvez pas lui mentir.
De son côté, elle s’engage, si jamais vous touchez une cigarette (même juste une fois) à envoyer directement votre chèque sous enveloppe à l’adresse de la personne ou au siège de l’organisation ou du parti politique que vous détestez, à titre de don gracieux. Pas d’excuse, pas d’exception.
Une technique qui hacke le cerveau!
Il est très difficile de se libérer d’un comportement addictif comme le fait de fumer car on pense souvent ne pas avoir les capacités d’y arriver. En revanche, quand vous faites appel à des valeurs plus élevées comme celles liées à des opinions politiques ou à des valeurs personnelles essentielles pour vous, l’engagement est plus fort que vous et vous trouvez des ressources mentales et physiques que vous ne soupçonniez pas. C’est un combat qui vous dépasse, vous transcende. Votre cerveau gère ça comme une mission plus grande que vous.
On retrouve ce phénomène chez les fumeuses qui s’interdisent l’idée d’empoisonner bébé et arrêtent souvent très facilement de fumer dès qu’elles sont enceintes. Elles se permettent de s’intoxiquer mais empoisonner bébé n’est pas une option.
Trente jours pour libérer votre cerveau de la cigarette
30 jours suffisent. En tenant ce délai sans toucher une cigarette, pour ne pas faillir à votre mission, vous vous permettez de vous libérer totalement de la cigarette. 30 jours suffisent pour perdre l’habitude du geste lié à la cigarette et sont suffisants aussi pour évacuer 99% de la nicotine présente dans votre organisme. Vous avez perdu le geste du fumeur, votre corps est nettoyé du poison, bienvenue chez les non-fumeurs!
crédits photos flickr.comvolver-avanzar
Faites de votre cerveau votre meilleur ami
Faites de votre cerveau votre meilleur ami! Votre esprit peut-être votre meilleur ami ou votre pire ennemi. Chez certaines personnes, il peut être un formidable coach qui motive en permanence vers la réussite et l’épanouissement de soi alors que chez d’autres, il peut être un parfait un saboteur intérieur qui mine petit à petit l’estime de soi et la confiance en soi. Apprenez à filtrer votre dialogue intérieur en utilisant une technique simple et efficace et reprendre ainsi le contrôle de votre cerveau.
Le pouvoir des mots sur notre cerveau
La façon que l’on a de se parler, le vocabulaire que nous utilisons, a un impact non négligeable sur le ressenti de nos expériences. Car les mots sont des étiquettes derrière lesquels nous rangeons nos émotions. En les utilisant régulièrement dans des situations différentes, nous réactivons en nous les mêmes émotions du passé et les renforçons. Cette vidéo vous apprend comment être vigilante à votre vocabulaire des émotions afin de reprendre le contrôle sur votre cerveau et vos émotions.
Le cerveau de nos enfants
Une vidéo qui explique le fonctionnement des ondes cérébrales dans le cerveau des enfants. Un stade de maturité du cerveau où l’imaginaire est au commande et l’esprit critique peu présent.
Votre cerveau a besoin d’énergie
L’eau c’est la vie !
Votre corps est composé de 65% d’eau, ce qui correspond à peu près à 45 litres d’eau chez une personne de 70 kg.
Chez les femmes, en raison de la proportion plus importante des tissus adipeux, ce taux est seulement de 55 %. Mais chez les bébés, il atteint 78 % !
La teneur totale en eau du corps humain dépend de plusieurs facteurs. Elle est fonction de la corpulence : plus une personne est maigre, plus la proportion d’eau de son organisme est importante. Elle dépend également de l’âge : elle diminue avec les années, car plus les tissus vieillissent, plus ils se déshydratent, l’eau étant remplacée par de la graisse.
Votre corps est un véritable miracle mais si on retire toute l’eau qui y est présente, vous ressemblez à un petit tas de poussière de quelques centimètres de haut. L’eau est partout en vous. Elle baigne la totalité de vos cellules, de vos tissus, de vos organes, muscles, vaisseaux sanguins et os.
Cependant, à l’intérieur de l’organisme, elle n’est pas répartie uniformément. Sa concentration varie d’un organe à l’autre, de 1 % dans l’ivoire des dents à 90 % dans le plasma sanguin. La plus grande part de toute l’eau de l’organisme siège à l’intérieur des cellules. Une autre partie occupe l’espace intercellulaire, servant de réserve aux cellules et aux vaisseaux sanguins. Le reste est contenu dans le sang et la lymphe, et circule en permanence dans tout l’organisme. Outre le sang, les organes les plus riches en eau sont le cœur, les poumons et le cerveau :
Cerveau 76%
Poumons 78%
Cœur 79%
Estomac 75%
Intestin 75%
Reins 81%
Os 22,5%
Muscles 75%
Sang 79%
Peau 70%
Votre cerveau a une fuite !
Le corps humain ne peut pas stocker l’eau. En effet, l’organisme élimine en permanence de l’eau via les excrétions (petite et grosse commission), la respiration, et surtout la transpiration. Chaque jour, le corps humain élimine 2,4 litres d’eau. C’est une moyenne qui est bien entendu a pondérer par le facteur de température extérieure.
Pour maintenir l’organisme en bonne santé et le cerveau à son fonctionnement optimal, nous devons donc chaque jour subvenir à nos besoins en eau, en buvant, et en mangeant car les aliments en contiennent beaucoup. Les pertes en eau doivent toujours être compensées par les apports.
3 jours d’espérance de vie…
La présence de l’eau est donc essentielle et vitale à votre corps et votre esprit. Dès qu’elle commence à manquer, il est facile de comprendre que l’organisme en souffre immédiatement.
La quantité globale d’eau nécessaire à un adulte de taille moyenne, vivant en région tempérée et ne fournissant pas d’effort physique particulier est d’environ 2,5 litres par jour dont environ 1 litre est apporté par les aliments et 1,5 litre par les boissons. Sans apport d’eau d’aucune sorte, il ne peut vivre plus de deux ou trois jours. Alors que s’il boit sans manger, il peut survivre environ quarante jours, à condition de ne fournir aucun effort.
Vous n’avez pas soif
Imaginer une belle rivière très poissonneuse, pleine de truites en abondance. A la suite d’une grosse période de sécheresse, le niveau de la rivière baisse de façon significative. Les truites n’ont plus assez de place pour survivre, elles s’étouffent et finissent par flotter le ventre en l’air…
Dans votre corps et dans votre cerveau, c’est la même chose qui se passe quand le niveau de l’eau vient à baisser. Les cellules faiblissent, fonctionnent au ralenti puis s’arrêtent.
Les cas de décès par déshydratation ne sont pas rares chez les personnes âgées car une déshydratation même modérée suffit à déséquilibrer mortellement beaucoup de maladies chroniques : maladies cardiaques, rénales et même diabète. Sans compter les déséquilibres dangereux des médicaments qui se retrouvent surdosés quand la quantité de sang diminue.
Le corps étant une merveille de technologie, la soif est un mécanisme par lequel l’organisme » avertit » qu’il est en état de déshydratation. Et c’est pourquoi il n’est pas bon d’attendre le signal de la soif pour boire car le corps est déjà déshydraté. il faut donc mieux prévenir que guérir et remplacer ce volume d’eau par la boisson et l’alimentation pour éviter la déshydratation.
Le ratio 2% – 30%
La sensation de soif n’est pas un indicateur valable car lorsqu’elle se manifeste vous êtes déjà largement déshydraté(e). Vous êtes alors en sous-régime sans le savoir et vous ne fonctionnez plus à votre maximum alors qu’aucun signal interne ne vous prévient!
Vous avez moins d’énergie et votre cerveau tourne au ralenti. Et cette situation arrive très rapidement!
En fait, dès que vous avez deux pour cents de déshydratation, vous avez trente pour cents d’énergie en moins! Votre corps fatigue plus vite et votre cerveau fonctionne moins bien. Toutes les fonctions ralentissent alors que s’installent la fatigue, la baisse de vigilance voire les douleurs physiques.
Astuce : le meilleur moyen de contrôler que vous êtes hydraté(e)s est l’urine. Quand elle est quasiment transparente, tout est normal. Dès qu’elle fonce, vous êtes déshydraté(e).
Boostez votre énergie cérébrale en 3 semaines !
Avant, j’associais la bouteille d’eau d’un litre et demi aux publicités vantant la minceur pour les femmes. Je pensais que boire de l’eau servait seulement à éliminer et perdre du poids.
Vu que j’ai une silhouette assez sportive (
Si vous n’avez pas l’habitude de boire, faites comme moi!
Ne comptez pas sur la bouteille d’eau dans le frigidaire ou la fontaine à eau qui est dans le couloir de votre entreprise. Car si vous n’avez pas l’habitude de boire, vous n’y penserez pas.
Il faut trois semaines pour intégrer une nouvelle habitude. Alors organisez-vous pour changer : pendant les 21 prochains jours, ayez toujours une bouteille de 1,5 litre d’eau avec vous.
Concrètement, acheter à l’avance trois ou quatre packs d’eau (idéalement prenez des marques différentes) et, tous les matins avant de sortir de chez vous, prenez une bouteille avec vous. Cette bouteille va devenir votre meilleure amie pendant trois semaines, vous l’emmènerez partout avec vous. Et le but du jeu est de ne pas la ramener chez vous le soir.
Au bout de trois semaines, vous aurez intégré l’habitude de boire et vous surprendrez à avoir soif.
Vous sentirez que vous avez plus d’énergie physique et que votre cerveau fonctionne mieux!
Crédits photos Tim Geers & Brian Smithson
Si cet article vous a plus, n’hésitez pas à laisser un commentaires ci-dessous.
Je pense trop !
Comment parler couramment anglais sans sortir de chez vous ?
Dans cette vidéo, je vous présente trois outils internet pour vous permettre d’apprendre à parler anglais sans sortir de chez vous, facilement et sans que ça ne vous coûte une fortune !
Un super outil pour développer votre mémoire
Comment apprendre une langue étrangère facilement
Dans cette vidéo je vous présente deux applications pour smartphone absolument géniales car elles vous permettent d’apprendre la langue étrangère de votre choix de manière efficace, facilement, rapidement et gratuitement (ou presque!).
La méditation, c’est pas pour les moines !
Dr Joe Dispenza à Paris, j’y étais !
Comment détendre votre cerveau en 5 minutes
Votre cerveau est une pile !
Comment gérer votre stress au quotidien ?
Votre cerveau ne comprend pas la négation !
La distance inconsciente de communication
Des codes inconscients
Ne vous êtes vous jamais senti(e) envahi(e) par quelqu’un qui vous parle de trop près?
Avez-vous déjà ressenti une distance avec un ami, un collègue ou un client?
Il existe une distance inconsciente – et pourtant hyper codée – entre les humains. Prendre conscience de ces codes permet d’améliorer la qualité de votre communication avec les autres.
A chacun sa bulle
En effet, chaque être humain possède de façon inconsciente une zone d’intimité qui lui est propre et qui se redéfinit à chaque interaction avec les autres. Cette zone s’appelle la bulle de proxémique.
Ce terme de bulle de proxémique est essentiellement utilisé en PNL* et en hypnose. Il qualifie une zone émotionnellement forte ou encore un périmètre de sécurité individuel, c’est-à-dire l’espace dont chaque individu a besoin pour se sentir à l’aise. On peut parler de notion de bonne distance.
Inconsciemment chaque individu défini cet espace spécifique et personnel dès qu’il est en rapport avec un interlocuteur et cela varie à chaque fois. Cette bulle, appelée aussi bulle de rapport ou de protection, doit être respectée pour ne pas rentrer en conflit inconscient avec l’autre. L’école de Palo Alto* fut une des premières à travailler sur ce concept, faisant partie des travaux sur la proxémique.
crédits photos Will Montague
Se tenir à distance…
Grâce à de nombreuses observations, on a pu mettre en évidence quatre catégories principales de distances interindividuelles en fonction de la distance qui sépare les individus :
-
La distance intime (entre 15 et 45 cm*) : zone qui s’accompagne d’une grande implication physique et d’un échange sensoriel élevé.
-
La distance personnelle (entre 45 et 135 cm) : est utilisée dans les conversations particulières.
-
La distance sociale (entre 1,20 et 3,70 m) : est utilisée au cours de l’interaction avec des amis et des collègues de travail.
-
La distance publique (supérieure à 3,70 m) : est utilisée lorsqu’on parle à des groupes.
Le schéma indique clairement que la « bulle » est plus étroite sur les côtés ou derrière, il est donc plus simple de rentrer dans l’espace personnel de l’autre par un côté ou dans le dos que de face. Ceci explique peut-être pourquoi les psy se placent sur le côté de leurs patients ou carrément dans leur dos.
Malaise dans l’ascenseur…
Cette distance inconsciente explique pourquoi l’on se sent mal à l’aise avec plusieurs personnes dans un endroit exigu, comme un ascenseur par exemple. Des étrangers sont dans notre zone d’intimité (et réciproquement). Toutefois cette situation reste relativement admise de par le contexte propre à l’ascenseur, mais serait rapidement associée à une manœuvre d’agression si la même situation de proximité se déroulait dans un endroit où cela ne se justifierait pas.
crédits photos Frédéric Bisson
La distance varie aussi en fonction du contexte
Selon le statut social
Ces distances d’interaction varient également selon les statuts des interlocuteurs. En effet, on se place plus loin d’un supérieur ou inférieur hiérarchique que d’un pair. Ainsi, il existe une relation entre la distance sociale et la distance spatiale.
En fonction de la culture
La dimension de cette bulle personnelle varie aussi selon les cultures. Elle est plus ample dans les pays occidentaux que dans les pays méditerranéens et pratiquement inexistante dans les pays arabes.
Mais aussi selon la tâche à accomplir
Dans une situation de coopération, les individus se placent généralement côte à côte pour partager le matériel et les idées.
Dans une situation de compétition, les individus préfèrent s’assoir l’un face à l’autre (le fait de se regarder facilitant la compétition).
Dans une situation de co-action (les personnes qui travaillent sur des tâches différentes), les individus préfèrent se tenir aux coins diagonalement opposés de façon à éviter de se voir.
Enfin, la bulle de proxémique est différente chez chaque personne, il faut donc tester en calibrant la distance idéale pour mettre à l’aise l’autre, tout en étant proche.
A tester…
N’hésitez pas à tester le ressenti inconscient de la bulle de proxémique avec un partenaire grâce à un exercice tout simple. Cet exercice se fait debout. L’un reste immobile en fermant les yeux et en se bouchant les oreilles (pour supprimer les autres informations sensorielles) tandis que l’autre s’approche à pas de loup. Il y a un moment où celui qui est approché “ressent” physiquement l’intrusion dans son espace intime.
Cet article vous a intéressé? N’hésitez pas à laisser un commentaire ci-dessous.
* PNL : Programmation Neuro Linguistique, ensemble de modèles et techniques destinés à améliorer la communication.
* Ecole de Palo Alto est une école de pensée et de recherche sur les théories de la communication crée dans les années 50 aux Etats-Unis par Gregory Bateson.
* Les résultats des observations suivantes ont été établis avec un groupe de sujets américains. Pour les Français, la distance est réduite.
Un cerveau à 100%
Avez-vous un problème chronique dont vous n’arrivez pas à vous défaire ?
Souffrez-vous de problèmes physiques, mentaux ou émotionnels chroniques type : obésité, dépression, douleurs, maux de dos, fatigue, ostéoporose, vertiges, troubles de la sexualité, addictions, constipation, difficulté à se concentrer, crises de panique, humeur colérique, impulsivité excessive, impuissance, sautes d’humeur, troubles digestifs…
Et si le problème venait d’un dysfonctionnement de votre cerveau?
Quand on ne se sent pas en forme physiquement, mentalement ou émotionnellement mais que l’on ne trouve pas de solution, il est logique de commencer à remonter à la source du problème : au cerveau et à son fonctionnement, car au final, c’est lui le grand patron et tout part de là.
Lorsque vous consultez pour différents troubles chroniques, la plupart des médecins n’ont pas forcément le réflexe de penser à un déséquilibre de l’activité cérébral mais le docteur Braverman, ancien chef de clinique du prestigieux Brain Bio Center de Princeton, animateur des centres médicaux PATH de New York et Philadelphie et auteur du livre en référence, explique qu’en rééquilibrant le neurotransmetteur dominant d’un patient, sa santé s’améliore sur tous les tableaux et que 9 fois sur 10 les aspects psychiques et émotionnels sont également corrigés.
Il est aujourd’hui possible d’identifier votre nature cérébrale dominante avec les éventuelles carences associées et de rééquilibrer la chimie de votre cerveau .
Un véritable générateur d’électricité
Le cerveau fonctionne comme une sorte de générateur d’électricité du corps. Il envoie des signaux électriques ou chimiques dans tout le corps pour alimenter les différents systèmes tout en préservant le psychisme et en orchestrant la santé. Le courant électrique permet au cerveau de coordonner les mouvements, de contrôler la respiration, d’indiquer la faim ou la satiété, la douleur, la joie, la tristesse… A condition de pouvoir circuler correctement…
crédits photos : freeimages
Si tout fonctionne normalement, notre santé physique et mentale est optimale. En revanche, au moindre dérèglement, les problèmes surviennent. En vérifiant que la tension électrique du cerveau est bien réglée, c’est comme si on vérifiait tout d’abord que la prise est bien branchée, avant de changer l’ampoule de la lampe.
A l’origine était le neurone…
Toute activité cérébrale part d’un stimulus : une pensée ou une information en provenance de nos cinq sens (vue, ouïe, odorat, goût, toucher). Ces informations remontent par le système nerveux central (moelle épinière, tronc cérébral, cervelet et cerveau) dans le cerveau qui va ensuite produire une réponse en renvoyant des messages au corps par ce même chemin.
Dans le cerveau, les signaux entrants ou sortants sont traités au plus petit niveau par les neurones qui sont des cellules spécialisées (nous en avons tous une centaine de milliards). C’est dans la communication entre les neurones que tout ce joue et cette communication se fait grâce à des médiateurs chimiques qu’on appelle neurotransmetteurs. C’est grâce à eux qu’est assuré l’envoi de signaux électriques, d’informations et d’énergie dans le reste du corps.
Ces médiateurs chimiques sont donc indispensables à notre équilibre physique et mental.
Les principaux sont :
- la dopamine
- l’acétylcholine
- l’acide gamma-aminobutyrique (GABA)
- la sérotonine
Ensemble, ils constituent le code de notre cerveau et leur combinaison fait apparaître la personnalité de chacun.
Notre personnalité est chimique !
Selon le docteur Braverman, la chimie du cerveau a un impact phénoménal sur notre qualité de vie. Pour lui, être au mieux de sa forme et profiter pleinement de la vie est la conséquence directe d’un bon équilibre cérébral. Cet état résulte d’une transmission optimale de ces neurotransmetteurs essentiels de notre cerveau. Quand le fonctionnement cérébral est au top, la tension électrique dans le cerveau est élevée, la vitesse de propagation rapide et la rythme constant des ondes synchrones.
Connaitre sa nature chimique
Grâce à un test spécifique composé de 200 questions (édité dans le livre en référence) relatives à votre mémoire et votre capacité de concentration, votre condition physique, votre personnalité et vos traits de caractère, il est possible de découvrir quelle est votre nature chimique dominante.
De manière générale, chaque neurotransmetteur est associé à de grandes fonctions :
- la dopamine est messager de l’énergie et du désir
- l’acétylcholine nous rend créatif
- le GABA nous calme et nous rend zen
- la sérotonine véhicule les sensations de bien-être
Trait dominant de la personnalité
Le centre médical PATH de New-York, en collaboration avec d’autres scientifiques de renommée nationale, a récemment publié les résultats d’une étude intéressante portant sur les relations entre le tempérament des personnes et les neurotransmetteurs. Sa conclusion est que chaque neurotransmetteur joue un rôle unique et en fonction de sa présence prédominante ou pas dans notre cerveau, cela crée des tendances de personnalités différentes :
NEUROTRANSMETTEUR PREDOMINANT |
TYPE DE PERSONNALITE |
+ de Dopamine |
Extraverti |
– de Dopamine |
Introverti |
+ d’Acétylcholine |
Inventif |
– d’Acétylcholine |
Pragmatique |
+ de GABA |
Réfléchi |
– de GABA |
Spontané |
+ de Sérotonine |
Emotionnel |
– de Sérotonine |
Cérébral |
Ce sont des grandes tendances générales mais en se combinant les uns aux autres, ces différents neurotransmetteurs font apparaître la personnalité de chacun. Nous sommes en fait des êtres chimiques gouvernés par la biochimie de notre cerveau!
Tout est une question d’équilibre…
crédits photos : Steven Storey
Quand la biochimie du cerveau est parfaitement équilibrée, nous sommes en pleine forme physiquement et mentalement. Mais quand un neurotransmetteur est déséquilibré par rapport aux autres, cela modifie en profondeur notre personnalité et notre vie émotionnelle.
Les problèmes arrivent quand l’équilibre est perdu. La baisse des facultés physiques, intellectuelles, les troubles de l’humeur et la plupart des ennuis de santé qui apparaissent avec l’âge s’expliquent par un déséquilibre dans la chimie du cerveau. Notre personnalité, nos émotions mais aussi notre santé en dépendent.
Vers l’âge de 40 ans, en vieillissant, notre corps sécrète moins d’hormones qui régulent la production de neurotransmetteurs. Le stress de la vie quotidienne et nos choix alimentaires sont également des facteurs aggravants possibles. Ce déséquilibre peut être dû à un déficit ou à un excès d’un neurotransmetteur par rapport aux autres.
Nous apprenons à vivre avec ces troubles mais, si on ne réagit pas, avec le temps cela finit par s’aggraver. L’auteur prend l’exemple du pneu légèrement dégonflé de votre voiture. Au début vous ne remarquez rien mais le pneu va s’user de manière irrégulière. Ensuite ce sera le tour des trois autres. Puis des freins et de la direction. Alors qu’il aurait suffit de regonfler un pneu, vous allez devoir racheter les quatre ainsi que les plaquettes de freins, faire revoir le parallélisme et peut-être changer les amortisseurs.
crédits photos : Mike Mozart
Excès ou déficit
Le plus grave est quand il y a excès d’un neurotransmetteur ce qui peut entraîner des troubles psychiatriques sérieux.
En revanche, quand un neurotransmetteur est un déficit, le docteur Eric Braverman décrit plusieurs profils dans lesquels vous pouvez peut-être vous retrouver : le solitaire ou le procrastinateur (pour ceux en manque de dopamine), l’original ou le perfectionniste (manque d’acétylcholine), l’instable ou le comédien (manque de GABA), l’égocentrique ou l’anticonformiste (manque de sérotonine). Tous ces profils sont décrits plus en détail dans le livre *.
Par exemple, un manque de dopamine peut ainsi entraîner des troubles déficitaires de l’attention, une carence en acétylcholine des troubles de l’apprentissage, en GABA des tendances impulsives ou agressives et en sérotonine des sautes d’humeur ou un état dépressif.
Comment détecter si vous avez une carence dans un neurotransmetteur ?
Grâce à un autre test spécifique (proposé dans le livre « un cerveau à 100% ») composé de 115 questions, vous pourrez identifier les carences éventuelles dans un des quatre principaux neurotransmetteurs. Ce test permet d’identifier quel neurotransmetteur domine votre fonctionnement cérébral et quel est celui qui vous fait défaut. Le but ensuite est de mettre tout en oeuvre pour rétablir l’équilibre de ces messagers chimiques du cerveau.
Les solutions à mettre en oeuvre
Il est possible de mettre en place un programme adapté à votre profil faisant appel à des conseils en nutrition, des compléments nutritionnels (acides aminés, vitamines), des suppléments hormonaux et même des médicaments.
Ce programme novateur a été validé par une expérience clinique portant sur des milliers de patients. Il peut vous aider à atteindre une optimisation du fonctionnement cérébral par un rééquilibrage de la chimie du cerveau afin de se sentir au top de vos capacités dans votre corps et dans votre tête.
6 façons de rééquilibrer la chimie de votre cerveau et optimiser vos capacités physiques, mentales et émotionnelles
En accord avec votre médecin, il y a plusieurs axes thérapeutiques sur lesquels vous pouvez jouer du plus léger au plus fort, en fonction de l’importance de votre carence : l’environnement, le mode de vie, l’alimentation, les compléments alimentaires, les hormones et l’électrothérapie.
Les premières solutions sont plus douces pour l’organisme et rétablissent donc un équilibre de la chimie du cerveau avec le temps et la persévérance alors que les dernières (notamment le rééquilibrage à base de médicaments et d’hormones) sont plus agressives pour l’organisme mais plus rapides en termes d’effet.
1 – L’environnement
Plusieurs études ont confirmé que :
- le plomb perturbe la production de GABA,
- le cadium (dans la fumée de cigarette) perturbe celle de dopamine,
- la présence d’aluminium (eau, casseroles et autres ustensiles de cuisine) et l’exposition à la lumière des ampoules fluorescentes inhibe la production d’acétylcholine,
- les pesticides jouent sur celle de sérotonine.
Dès que vous supprimez de votre environnement un agent néfaste qui agit sur votre carence, vous constaterez une amélioration significative de votre santé physique et mentale.
crédits photos : Raul Lieberwirth
2 – Le mode de vie :
Il est de bon sens de penser qu’un climat trop stressant (objectifs irréalistes, tâches monotones, conflits avec un collègue, un supérieur ou son conjoint, accident de la vie…) nuit à notre équilibre chimique cérébral. Certaines modifications dans notre mode de vie peuvent alors progressivement permettre au cerveau de se re-synchroniser naturellement en pratiquant des activités comme :
- faire du sport
- pratiquer la sieste
- pratiquer une activité spirituelle (méditation, chant, prière)
- voir ses amis plus souvent
Toutes ses activités feront du bien au cerveau en lui permettant de fonctionner plus calmement et de se rééquilibrer naturellement.
En outre, l’activité à privilégier peut être choisie en fonction du neurotransmetteur déficient :
- jouer aux échecs stimule la production de dopamine
- écrire une lettre celle d’acétylcholine
- marcher dans la nature celle de GABA
- faire de la sculpture celle de sérotonine
crédits photos : Moyan Brenn
3 – Le rééquilibrage alimentaire :
Les aliments ont évidemment une action sur le cerveau. Pour le comprendre, il suffit de penser au besoin de sucres rapides que l’on éprouve quand on est stressé ou à la tasse de café que l’on boit pour rester éveillé.
Les protéines et ses constituants de base les acides aminés représentent pour la chimie de votre cerveau le plus important des trois groupes de nutriments essentiels (lipides, glucides, protéines). Les acides aminés ont un effet direct sur la production de médiateurs chimiques.
Je ne vais pas les lister ici mais le livre du docteur Braverman propose des rééquilibrages alimentaires spécifiques avec la liste de tous les aliments qui vous sont bénéfiques en fonction de votre neurotransmetteur déficient. Apprendre à mieux choisir les aliments en fonction de votre nature vous aidera à améliorer votre santé.
Cependant vous ne constaterez aucun changement au bout de quelques minutes, comme avec certains médicaments, ni au bout de quelques jours comme avec les hormones. Plusieurs semaines seront nécessaires pour modifier votre état général mais cela se fera de façon moins brutale sur l’organisme et plus naturelle.
la durée de ce régime dépendra de l’importance de votre carence : trois jours par mois si elle est légère, trois jours par semaine si elle est modérée et au moins six jours par semaine si elle est forte.
crédits photos : Pauline Kletti
4 – Les compléments alimentaires :
Notre mode de vie interfère trop souvent avec la possibilité de recevoir tous les nutriments dont nous avons besoin. En ne mangeant pas correctement, on affame son cerveau et on ressent rapidement les effets sur nous : irritabilité, difficulté à se concentrer, sommeil…
Heureusement les compléments alimentaires peuvent pallier ses manques de l’alimentation. Ils agissent comme des médicaments. Vous trouverez également dans ce livre les compléments alimentaires adaptés à votre carence en neurotransmetteurs et vous pourrez vous les procurez facilement en pharmacie pour une cure et un rééquilibrage rapide de la chimie du cerveau.
crédits photos : Czubaka
5 – Les hormones :
Ce sont des messagers du cerveau qui sont envoyées dans le corps pour contrôler les fonctions spécifiques des cellules et des organes. L’action des hormones sur le cerveau est incontestable et les travaux de recherche et les essais cliniques sur des milliers de patients ont démontré l’effet positif des hormones sur les troubles liés aux déficiences en neurotransmetteur.
En vieillissant , on sécrète moins d’hormones et une hormonothérapie substitutive sous le contrôle strict de votre médecin peut être prescrite dans des cas de ménopause, andropause (l’équivalent pour l’homme), de troubles sexuels, d’ostéoporose, de troubles de l’humeur, de fatigue chronique, d’obésité ou d’altération des capacités cognitives. Demander toutefois à votre médecin de privilégier les hormones naturelles bio-identiques qui proviennent des plantes et agissent en reproduisant exactement les hormones de notre organisme. Les hormones de synthèse et les molécules hormonales provenant d’autres espèces animales, proposées en général par les laboratoires, peuvent provoquer des effets secondaires indésirables.
6 – L’électrothérapie :
Pas de soucis, on est loin de la chaise électrique même si cette thérapie repose sur des appareils qui utilisent la stimulation électrique ou électromagnétique pour intervenir sur les dommages dus à l’environnement et autres facteurs chimiques.
Avec évidemment l’avis de votre médecin et sur une prescription médicale, l’appareil s’achète, se loue et il est parfois remboursé par la sécurité sociale. On peut également pratiquer l’électrothérapie en cabinet, chez un neurologue, un kinésithérapeute ou dans certains services hospitaliers. De bons résultats sont constatés contre les douleurs chroniques, le traitement de l’anxiété, de la dépression, de l’insomnie voire maladie d’Alzheimer.
* Un cerveau à 100%
Cet article vous fait réagir ou vous voulez témoigner de votre expérience? N’hésitez pas à laisser un commentaire !